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Par La plume de N. Ghis. le 8 Mai 2017 à 18:36
N'oubliez pas de cliquer sur "Vidéos" si vous voulez écouter Julian Renan.
Pierre-Michel est dans le menu de gauche avec les titres :
"Quai de Gare" - "Insouciance" & " Tout ce qu'on se reproche " qui est la dernière en date.
Merci à vous.
Bye! Bye! Mon amour!
Seule devant le pas de porte, tu t'arrêtes.
Je regarde tes bagages et je regrette:
Je sais que tu parts pour toujours.
Adieu ma vie! Mon amour!
Reconnaître ses erreurs n'est pas facile:
Les serments qu'on s'était fait, bien trop futiles.
Bye! Bye! Mon amour forever!
Bye! Bye! Mon amour: «I love you!»
Refrain
C'est une existence floue
Se profilant
A l’horizon qui s'assombrit
Puisque tu parts.
C'est comme un rideau de pluie
Devant mes yeux
Je sais bien que c'est finit
Entre nous deux...Entre nous deux.
Tu t'en vas, et je suis là, devant ma porte,
Incapable de parler : la vie t'emporte.
Bye! Bye! Mon amour! «Je t'aime!»
Bye! Bye! Ma vie! Mon amour!
Et devant ce pas de porte, je reste seul.
Ton départ, laisse un grand vide:comme un linceul.
Bye! Bye! I love you, mon amour!
Bye! Bye! My life!... Forever!
Refrain
C'est une existence floue
Se profilant
A l’horizon qui s'assombrit
Tu n'es plus là.
C'est comme un rideau de pluie
Devant mes yeux
Car je sais que c'est finit
Entre nous deux... Entre nous deux.
Seul devant ce pas de porte, tout s'arrête
Quand ton pas, dans l'escalier, résonne en ma tête.
Bye! Bye! Mon amour! Pour toujours!
Bye! Bye! Ma vie! Mon amour!
La fin
Bye! Bye! Mon amour! «I love you!»
Bye! Bye! My life!... Forever!...
N.GHIS
Texte écrit le 14 juin 2016
4 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 8 Mai 2017 à 18:34
Moi sans toi
Moi, sans toi,
C’est une vie qui n'est pas vraie
Une existence sans attrait
Une errance sans intérêt
C’est un printemps désenchanté
Moi, sans toi,
C’est une journée sans soleil
Des journées qui sont touts pareilles
Aucune joie, aucune merveille
Ne vient égayer mon réveil.
Refrain
Mais moi, avec toi,
C’est une nature en fleurs
C ‘est le retour du jeune pêcheur
Qui a triomphé de sa peur
Et touche du doigt son bonheur
Oui, moi avec toi,
C’est ma vie d’homme qui fleurit
C’est l’arbre de vie qui produit
Pareil aux battements d’un cœur
Des fruits aux multiples saveurs
Couplets
Moi, sans toi,
C’est l’ombre sombre du néant
C’est s’en aller en plein beau temps
Sans avoir jamais eu le temps
De cueillir les étoiles au printemps.
Moi, sans toi,
Je n’ai plus cette envie de vivre
Que seule tu savais me donner
Il n’est plus rien sur cette rive
Qui me donne envie de luter
Refrain
Mais moi, avec toi,
C’est encore l’amour qui fleurit
Chaque matin de notre vie
Chaque fois que sonnera l’heure
d'Apprivoiser notre bonheur
Mais si tu n’est plus là,
C’est l’homme que tu feras de moi
C’est l’homme que je serai demain
Si ce soir, sans regret ni remord,
tu t’en vas…
N. GHIS.
N. GHIS. Texte écrit le 12/07/2003
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Par La plume de N. Ghis. le 8 Mai 2017 à 12:29
Comme une flamme bleue
J’étais seul dans ma vie.
J’étais seul dans mes nuits.
Les jours me semblaient longs.
Longs comme des saisons.
Je n'avais pas d’ami.
Je traînais mon ennui.
J’étais mal dans ma peau.
Tout en moi sonnait faux.
Lorsque j’ai entendu
Des notes de musique.
Quand je t’ai aperçu,
C’était plus que magique.
Je vivais sans amour,
Tu as tout chamboulé.
Les jours sont bien trop courts
Depuis qu’on s’est trouvé.
Refrains
Comme une flamme bleue,
Ton regard a brûlé le miens
Lorsque tes lèvres
Ont frôlé ma bouche,
C’était comm' si le soleil
M'avait pris par la main
C'était comm' si le soleil
T’avait donné le droit
De prendre ma chaleur
Pour réchauffer ton cœur
De belle au bois dormant.
Couplets
Aujourd’hui, je gaspille
Ma vie d'homme avec toi
A présent, je respire
Cet air qui vient de toi.
Lorsque mes mains te frôlent
Et tracent sur ton corps
Mille traînées de feu
Sur tes îles au trésor,
Quand je te fais l'amour,
Que tes baisers me grisent,
J'aime sentir ta peau
Collée contre ma peau,
Goûter à la magie
Du réveil de ma vie,
Et jouir de la douceur
Du réveil de mes nuits.
Refrains
Comme une flamme bleue,
Ton regard sait brûler le mien
Et quand ma bouche
Frôlent tes lèvres,
C’est comm' si le soleil
Me prenait par la main
C'était comm' si le soleil
T'avait donné le droit
De prendre sa chaleur
Pour réchauffer le corps
De ton prince charmant.
N. GHIS.
N. GHIS. Texte écrit en 1979
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Par La plume de N. Ghis. le 7 Mai 2017 à 17:19
Ce texte est d'abord un poème que je viens de modifier le 09 mars 2017 pour en faire un texte de chanson pour les compositeurs, s'ils désirent mettre une mélodie dessus.
N.GHIS.
Le vide de l'absence
Pourquoi ces mot sur ce miroir rouges de sens
Sur ce miroir éteint où l'amour s’est enfuit ?
Quelle est cette écriture en pétales de sang
Se mêlant à ma bouche, et qu'il faut que j'oubli ?
Ton message me dit que ce soir c’est finit,
Et je ne comprends pas pourquoi tu es partis.
Nous, étions amoureux, il me faut oublier
Le parfum de ta peau, nos ébats dénudés.
Refrain
Tes mots poignards sont le reflet de ton absence
Et torturent mon âme à jamais esseulée
Sachant que je t'aimais, de moi tu t'es moquée
Et je dois maintenant faire taire ma souffrance.
L'empreinte de tes lèvres, sans cesse me rappelle
Que tu m'as laissé seul sans regret, ni remord,
Sans même te demander si j'étais assez fort
Pour supporter le vide que tu as laissé.
Nous avions notre amour pour nous garder au chaud.
Nous savions nous donner l’un à l’autre, nous aimer.
J’ai encore sur mes lèvres le goût de tes baisers,
Difficile de me dire que tout est terminé.
Doutant de ton absence, je suis stupéfaits.
Je suis anesthésier par ce que tu me fais.
En me privant de toi, ma vie n'a plus de sens
Et je dois supporter le poids de ton absence!
Refrain
Tes mots poignards reflètent ton indifférence
Et torturent mon âme à jamais esseulée.
Sachant que je t'aimais, de moi tu t'es moquée,
Et je dois maintenant faire taire ma souffrance.
L'empreinte de ta bouche sans cesse me rappelle
Que tu m'as laissé seul, sans regret, ni remord,
Sans même te demander si j'étais assez fort
Pour supporter le vide que tu as laissé.
Fin
Que faire de cet amour qui n'est plus qu'illusion :
Je me sens seul, déchu : un homme en perdition...
Texte écrit en 2002
La rose De Janvier 2016
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