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Par La plume de N. Ghis. le 13 Février 2017 à 11:58
Pas de musique.
Je ne renonce jamais!
J'ai déjà travaillée avec TF1 pour des compositeurs et des chanteurs sur la Belgique en 1982.
Le texte en anglais avec la musique que vous allez entendre en bas,
n'a rien à voir avec les paroles que j'ai écrite.
J'ai juste voulu illustrer ce que ressent un homme
quand celle qu'il aime le quitte...
Un homme,ça pleur aussi
Refrain chanté
Moi, l'homme et bien je pleure
Je n'y peux rien je pleure
Une blessure au cœur,
Je pleure, je pleure.
Plongé dans la moiteur
De ce bar moi, je pleure
Perdu dans ma douleur
Je pleure, je pleure.
Texte parlé
sous accompagnement musical
Elle était toute ma vie
Je l'ai tant attendu
Toujours gaie et gentille
Jamais un mot de plus
Elle était tout pour moi
Et je ne comprends pas
Pourquoi elle m'a quitté
Pourquoi elle est parti.
Elle était ma moitié
Tous les deux ça collait
Je suis comme assommé
Je croyais qu'elle m’aimait
Pourtant tout est finit
L'amour à des caprices
Que nous avons, les hommes,
Bien du mal d'accepter.
Il faut bien s'incliner
Quand on peut rien sauver
Si l'un des deux décroche
A quoi bon insister
Refrain chanté
Moi, l'homme et bien je pleure
Je n'y peux rien je pleure
Un poignard dans le cœur
Je pleure, je pleure.
C'est idiot mais je pleure
Vous voyez bien je pleure
Le nez dans mes erreurs
Je pleure, je pleure.
Texte parlé
Dans l'appartement vide
Je repense à nous deux
Je revoie dans ses yeux
Ce bel amour sans rides
Je ne veux plus penser
Qu'elle a voulu changer de vie
Ne plus penser qu'elle m'a quitté
Qu'elle à voulu changer de lit.
Surtout ne pas s'apitoyer
Sur ce qui fût notre complicité.
Sortit boire quelques verres, me saouler,
Et draguer, m'envoyer des poupées,
Me défoncer noyé dans le whisky:
J'en oublierai jusqu'à son nom
J'en oublierai jusqu'à mon nom:
Combler le vide qu'elle à laissé;
Mais en attendant... En attendant,
Refrain
Plongé dans la moiteur
De ce bar moi, je pleure,
Perdu dans ma douleur
Je pleure, je pleure.
Laissez-moi me Saouler,
Dans mon verre me noyer
Me faire casser la gueule
Je ne veux plus penser.
Accompagnement musical
Cette musique me plaît!
Elle va très bien avec l'ambiance que j'ai voulu décrire en écrivant les paroles du texte ci-dessus.
C'est pourquoi j'ai mis cette vidéo sur mon blog.
N. GHIS. Texte écrit en mars 2003
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 12 Février 2017 à 13:52
Trop loin de moi
J'aurais aimé pouvoir te couvrir de cadeaux
J'aimerais tant laisser courir mes doigts sur ta peau
J'aurais aimé connaître tes joies, tes peines
Et sous ton ciel de lit, te réciter du Verlaine.
J'aurais voulu t'offrir ma vie des milliers de fois
J'aimerais tans passer mes nuits, mes jours auprès de toi,Mais je ne peux pas
Tu es trop loin de moiDe moi, de moi, de moi,
J'aime à venir te rencontrer dans le bleu de mes rêves
Je rêve chaque nuit que jamais le jour ne se lève.
Je voudrais habiter dans ta vie pour toujoursSous un soleil de nuit, je voudrais bien te faire l'amour
J'aimerais échanger des baisers tendres avec toi,
Caresser tes cheveux, ton corps, tout connaître de toi,
Mais je ne peux pas
Tu es trop loin de moi,De moi, de moi, de moi,
Je voudrais t'enlever sur mon destrier tout blanc
Et comme Lancelot, ne plus être que ton galant.
J'aimerais m'allonger contre toi dans un grand champSous un chêne centenaire, que nous devenions amants,
Et d'un amour ardent, je voudrais comme autrefois
Me consumer passionnément, éperdument pour toi,
Mais je ne peux pas
Tu es trop loin de moi,De moi, de moi, de moi,
J'ai souvent pris la mer et courus tous les océans
Je n'ai su faire, toute ma vie, que brasser du vent.
J'ai goûté bien des femmes et j'en ai perdu du temps,
Mais aujourd'hui je te veux femme à jamais à moi,
Sur un trois mâts, fendre les flots pour voguer vers toi
Et m'envoler dans une valse d'amour avec toi.
C'est ce que je veux
Si toi, tu veux de moi,De moi, de moi, de moi,
La mélodie
la la la la la la etc.
N. Ghis.
Texte écrit en 2002.
La rose De Janvier 2015/2016
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 11 Février 2017 à 18:38
Chers amis(es)
Je ne suis pas la première qui a écrit sur la solitude car malheureusement, il y a beaucoup de personnes seules. La solitude est très dur à supporter car l'être humain n'est pas fait pour vivre seul.
Non: Je ne copie pas les grands noms! Ce sont simplement les mêmes mots qui, sous l'égide de mon inspiration, ressortent car ce sont les mots qui traduisent la solitude de ceux qui sont seuls.
Ce que j'exprime plus bas, dans le texte de cette chanson en devenir, sans être le support des mêmes mots, puisque c'est moi qui ai écris, le texte se retrouvent confronté au même désarroi que les gens ressentent quand ils sont seuls avec leur peine, sans amour et avec leurs problèmes sans même une écoute compréhensive, compatissante, pour les aider, dans leur cheminement solitaire, à refaire surface...
Le solitaire
Je ne sais vraiment pas pourquoi
Ce sentiment de solitude
S'insinue fortement en moi
Et sape toutes mes certitudes
Je me sens bien trop transparent
C'est comme si je n’existais pas
Devant une foule d'indifférents
Dans cette arène ou je combat
Refrains
Je ressens toujours un grand vide
Ma vie s'écoule comme une histoire
Qui n'est plus qu'un nombre de rides
Quand mon présent n'est qu'illusoire
Je me sens tellement inutile
A quoi bon marcher dans le noir,
En ne traînant que mon cafard
Pour seul compagnon en exile
Couplets
Je sais mon âme est trop fragile
Pour affronter tous ces ailleurs
Lorsque l'on se sens malhabile,
On cherche à protéger son cœur.
On se referme de l'intérieur
Pour fuir les contacts extérieurs.
Sans besoin qu'on me tienne la main
Je me calfeutre dans mon coin.
Refrains
Je sais que mes incertitudes
N'apportent rien à mes désirs
Mes rêves ne sont que des études
Qui resteront que souvenirs.
J'ai le cœur en décrépitude
Sans but précis où me fixer
Comment puis-je me débarrasser
De cet ennuie qui me bouscule.
La fin
J'ai beau dire, j'ai beau faire,
M'inventer des histoires
Je ne peux me défaire
De cet ennuie qui me bouscule.
J'ai beau dire, j'ai beau faire
Me construire des repaires
Je ne peux me défaire
De cette lassitude.
BIS
J'ai beau dire, j'ai beau faire,
Je ne peux rien changer
Je n'ai pas de repaire...
Je n'ai pas de repaire.
N.GHIS.
Texte écrit le 09/05/2016
La Rose De Janvier
13 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 12 Novembre 2016 à 19:55
Pas de musique
P'tit mec de la zone
(Descente aux enfers)
Il était une fois un p'tit mec de la zone
Qui grattait sa guitare: un môme
Qui faisait des chansons. Elles étaient pas bidon.
Il rêvait d'être artiste: ça risque!
Il voulait de l'argent, des amis, de l'amour.
Il voulait que ça dur toujours.
Enfin, c'est arrivé: il a eu du succès
Et dans sa vie tout a changer.
Son public l'aimait bien lui, l'artiste sans voix
A connut c'que c'était qu'la gloire.
Il faisait des concerts et dans ce monde à part
On l'considérait comme une star.
Mais ce qu'il savait pas, c'est qu'un jour, les bravos,
Ça finit pas de ronds dans l'eau.
Le p'tit gars ignorait la hargne des médias:
Quand tu te casse la gueule, t'es seul.
C'est comme les amitiés: dès que t'es plus dans le coup,
Elles te laissent te casser le cou.
Tous tes copains d'avant: quand t'avais de l'argent,
Se débinent quand y'a l'mauvais temps.
Tous ceux qui le flattaient, qui le considéraient,
Qui louaient son talent " les grands!"
Lui ont tourné le dos, parce que mal dans sa peau,
C'est lui qui f'sait des rond dans l'eau.
C'est quand même pas bonnard et c'est quand t'as besoin,
Qu'on te laisse dans ton coin: ça craint!
Tu te retrouves tout seul à ruminer ta peine
Qui, douc'ment se transforme en haine.
Tu rengaines ta rengaine en pensant que demain
Les beaux jours reviendront enfin
Et tu restes chez toi, attendant je n'sais quoi:
Un coup de téléphone?... Personne.
Les fausses amitiés, tant que t'es dans le vent,
Te caresse dans le sens du poil.
Mais c'est dès qu'tu t'ramasses, dès que t'es dans l'impasse,
Qu'y'en a qui t'font boire la tasse.
Et pis tant que t'y es, tu t'mets à picoler,
Et tu t'noies dans ton verre ta peine
Qui te regarde en face, qui te dit que t'es lâche!
Le nez dans ta mélasse, ça t'casse.
Comme tu comprends plus rien, tu picoles comme un trou
Et ta cervelle n'est plus qu'du moue.
Tu vas dans tous les bars et t'éponge pas mal
Jusqu'à c'que tu t'affale: t'es mal!
T'accuses les coups du sort qui s'acharne sur toi:
Dans ta tête sa cogne! Ça cogne!
Tu connais plus ta route, t'es qu'un mec qui s'dégoûte,
Tu t'dis t'es plus qu'une tache, qu'tu t'gaches.
De galères en galères, t'écluse de plus belle:
Tu voudrais t'faire la belle... La belle!
Mais t'as pas le courage de flinguer ta bobine:
Le nez dans le farine, tu couine.
Y'a plus que toi et toi dans ton combat liquide.
Ton ennemi c'est toi: Le KID
Qui se regard' en face: étranger dans sa glace,
C'est à toi de sauver la face.
C'est avec ta bouteille qu'tu fous ta vie en l'air
Et tu sais plus quoi faire... Quoi faire?
Quand on touche le fond, les neurones pleins de bière,
Ça finit par une mise en bière.
Si tu veux pas finir dans une caisse en bois,
C'est à toi d'faire le premier pas.
C'est pas grave si tu tombes: tu peux tomber dix fois!
Ce qui compte, c'est de faire un pas.
N. Ghis.
Texte écrit en 2002.
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