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Par La plume de N. Ghis. le 25 Mars 2017 à 17:30
Cette vie que tu vas nous donner
Ton ventre peu à peu s'arrondit et s'affirme
Et je vois dans tes yeux la fierté s'installer
Quand les gens te regardent et semble remarquer
Ton petit ventre rond qui te rend si radieuse.
Dans tes gestes, déjà, la tendresse maternelle
Te fait prendre et ranger chaque chose avec amour
Tout, en toi, me révèle le miracle charnel
Et je t'aime plus fort, plus encore chaque jour.
Tu me prends chaque soir la main et tu la poses
Su ce ventre tout rond qui est ton univers
Et je suis tout heureux devant cette petite chose
qui prend de l'importance dans le nid de ta chair.
Devant ton air inquiet, moi je fonds de tendresse
Et je bénis le jour ou l'on s'est rencontrés.
Chaque jour je me sens un peu plus comme un père
Même si c'est pas moi qui porte le bébé.
Je suis un fou d'amour devant toi jeune mère
Et, à travers ton corps je caresse l'enfant.
Déjà je fais pour lui des projet d'avenir
En voyant, peu à peu, ton ventre s'arrondir.
Oui, je suis fou d'amour devant toi, jeune mère.
Béat d'admiration, je ne peux que t'aimer!
J'ai fais de toi ma femme et toi tu as su faire
Naître en toi cette vie que tu vas nous donner.
N. Ghis. Texte écrit en 1975
Le 19/05/2010
Bonjour Ghislaine,
Tu traduis tellement bien les sentiments qu'il soient masculins ou féminins. Tu as un talent inné!
Ta poésie est pleine de charme et d'amour. Avec toi, l'on rêve, l'on vole dans les cieux! Ahmed.
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Par La plume de N. Ghis. le 22 Mars 2017 à 18:02
Je t'écrirai...
Je t'écrirai avec l'eau vive coulant de mes veines,
Pour mieux te faire sentir combien mon sang est poésie.
Je t'écrirai à l'encre rouge de mon sang :
Ruisseau d'eau pure qui maintient mon corps en vie.
Refrain
Je t'écrirai avec ce sang qui fait battre mon cœur
Lorsque je te vois sans oser t'aborder, te parler,
Je t’écrirai lorsque j'oserai te dire ma douleur,
A l'encre invisible de mes sentiments
Pour te confier cet amour qui m'étouffe.
Couplet
Je te parlerai de cet amour qui brûle en moi
Et qui me tue à petit feu sans que tu devines pourquoi.
Je te parlerai de cette douleur qui fait mal
Et qui empoisonne ma vie sans que je n'ose te le crier
Refrain
Je t'écrirai avec ce sang qui fait battre mon cœur
Lorsque je te vois sans oser t'aborder, te parler.
Je t’écrirai lorsque j'oserai te dire ma douleur.
A l'encre invisible de mes sentiments
Pour te confier cet amour qui m'étouffe.
La Fin
Je t'écrirai un matin, un jour, une nuit,
Lorsque mon sommeil tardera à venir,
Et que ton image hantera mes soupirs.
Je t'écrirai à l'encre rouge de mon sang.
Je t'écrirai : Oui! Je t'écrirai!
Je t'écrirai… Je t’écrirais...
N. GHIS
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Par La plume de N. Ghis. le 22 Mars 2017 à 17:59
Regret de toi
D'un amour à l'autre, que fais-tu de ton cœur?
D'un plaisir à l'autre, que fais-tu de ton corps?
A jouer avec le feu, a malmener sa vie,
Ne crois-tu pas qu'un jour on se heurte à l'ennui?
Es-tu sûr qu'entre nous l'amour est vraiment mort?
Es-tu sûr qu'il n'y'a pas en toi quelques remords?
Je cherche encore pourquoi nous nous sommes quittés.
Dans ma vie les beaux jours ont fait place aux regrets.
Refrains
Regrets de toi, tes yeux, de ta voix
Que j'en ai mal au fond de moi!
Toi mon tendre passé, pourtant toujours présent:
Jusque dans mes pensées tu est là, je le sens.
Et je suis comme un radeau qui dérive.
J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix
Que j'ai vraiment très mal au plus profond de moi!
Mes illusions s'envolent aux vent de tes amours
Et je m'accroche à elles comme bouée de secours:
Couplets
Accepter ton absence comme un simple divorce?
Supporter ton absence? Je n'en ai plus la force!
Je revis tous nos gestes qui nous rendaient heureux
Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux,
Lorsque nos mains timides n'osaient s'aventurer
Sur le chemin des dieux qu'est l'amour partagé.
Ignorer cette errance qui torture mon âme?
C'est la folie qui gagne et c'est là tout mon drame!
Refrains
J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix
Que j'ai vraiment très mal au plus profond de moi!
Toi mon tendre passé, pourtant toujours présent:
Jusque dans mes pensées tu est là, je le sens.
Et je suis toujours ce radeau qui dérive.
J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix
Que j'en ai vraiment mal au plus profond de moi!
Mes illusions s'envolent aux vent de tes amours
Et je m'accroche à elles comme bouée de secours:
La fin
Mais c'est peine perdue: je le sais, je le sens.
Sauve-moi de toi-même ou sauve-toi de moi!
Bis.
Mais c'est peine perdue: je le sais, je le sens.
Sauve-moi de toi-même ou sauve-toi de moi!
Ou sauve-moi de toi!
N. GHIS.
Texte écrit le 19 mai 2016
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Par La plume de N. Ghis. le 22 Mars 2017 à 17:52
Je me pose des questions
Chaque matin
Je te croise en prenant le train.
Tu me regardes sans me voir.
Je vois bien que tu es ailleurs.
*
Quand vient le soir,
Tu t'en vas promener ton chien.
Tu passes devant moi sans me voir.
Sans rien deviner de mes peurs.
Mylène, Mylène,
Belle et rebelle je te croie
Insaisissable comme l'air.
La glace et le feu sont en toi,
Peut-être que mon amour ne te touche pas ?
*
Serais-tu encore demoiselle
Que ça ne m'étonnerait pas,
Si j'osais un seul instant, j'aimerais
Faire, vers toi, ce premier pas,
Mais peut-être que tu ne veux pas de moi ?
Quand s'en vient l'amour,
Que fais-tu, Mylène, si tu aimes ?
Que fais-tu, douce Mylène ?
Serais-tu fidèle sans tes ailes ?
*
Si je me pose ces questions,
Malgré mes airs de fanfaron
C'est que jaim'rais que tu sois mienne;
Mais dois-je faire le premier pas ?
Le premier pas...
Mylène,Mylène,
Signe d'air, fille que j'aime!
Aimerais-tu brûler tes ailes
Au feu que tu allumes en moi ?
Au feu qui se consume en moi,
Mais peut-être que tu n'es pas faite pour moi ?
*
Chaque fois que je t'aperçois,
Te doutes-tu de mon émoi?
Je ne sais pas, mais si j'osais,
J'aimerais faire le premier pas,
Mais sans doute que tes pensées sont loin de moi.
Sont loin de moi...
N. GHIS. 2002
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