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    Juste un rayon de lune

    Petits défauts dans  dans les lignes qui s'espacent sans raison.

    Veuilles m'en excuser.

    N. Ghis.

    Juste un rayon de lune

      

    Texte de chanson

    Juste un rayon de lune


    Elle s’est donnée trop vite; amoureuse éperdue,

    Ignorant la prudence: mère de la vertu.

    Elle s'est offerte à lui sans réfléchir à elle,

    Espérant une confiance qu'elle voulait éternelle.


    Sa nudité cachée s
    ous le drap éclairé,

    Elle repense à celui qui trahit son amour.

    Que peut-elle espérer de promesses fracturées.

    Les souvenirs sont là pour y penser toujours.

    Refrains

    Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc

    Et caresse les draps où sa pensé la tord.

    Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,

    Mais il n'est pas venu attisant ses remord.


    Le regret en son cœur, elle pleure sa défaite.

    Il était amoureux. Le croyait-elle, à tord ?

    Elle le souhaitait sincère, pour elle c'était un fait.

    Il ne faut jamais croire aux futiles accords.

    Couplets

    Son bonheur n'est plus à porté de ses mains.

    Elle avait cru pourtant le frôler de ses doigts

    Mais l'amour, comm' la vie, se fiche bien des lois.

    Il va, il vient, s'ennuie pour fuir un beau matin.


    Et dans son infortune elle respire les draps

    Ou l'odeur de son corps se mêle à son parfum,

    La douceur de ses mains ravive son chagrin

    La mettant en souffrance, et dans tous ses états.

    Refrains

    Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc

    Et caresse les draps où sa pensé la tord.

    Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,

    Mais il n'est pas venu et grandit ses remords.


    Le reproche en son cœur, elle pleure sa défaite.

    Il était amoureux, il désirait son corps.

    Elle le croyait sincère, pour elle c'était un fait.

    Il ne faut jamais croire aux futiles accords.

    Couplets

    S’enfermant sur elle-même, elle pleure et se morfond.

    Se complaisant dans une attente qui lui fait mal

    Penser à lui, lui donne encor’ cette illusion

    Que tout ne peut finir sur une erreur fatale.

     

    Et ne veut pas penser à cette déceptions

    Qui nourrit sa souffrance autant que ses démons.

    Le téléphone portable à porté de sa voix

    Elle attend un appel qui ne sonnera pas.

    Refrains

    Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc

    Et caresse les draps où sa pensé la tord.

    Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,

    Mais il n'est pas venu et grandit ses remords.


    Le reproche en son cœur elle pleure sa défaite.

    Il était amoureux, il désirait son corps.

    Elle le croyait sincère, pour elle c'était un fait.

    Il ne faut jamais croire aux futiles accords.

     

    N. Ghis.

     

     Photo de La main et la plume.

    Texte écrit le 18 Mai 2010

    La Rose De Janvier 2016.

    Juste un rayon de lune


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  •  Un homme,ça pleur aussi

    Je ne renonce jamais !

    J'ai déjà travaillée avec TF1 pour des compositeurs et des chanteurs sur la Belgique en 1980.

    Un homme,ça pleur aussi

    Le texte en anglais avec la musique que vous allez entendre en bas,

    n'a rien à voir avec les paroles que j'ai écrite.

    J'ai juste voulu illustrer ce que ressent un homme

    quand celle qu'il aime le quitte... 

    « Jameson » : Jay Sean noie son chagrin dans l’alcool 

     

    Un homme,ça pleur aussi

     

    Refrain chanté

    Moi, l'homme et bien je pleure

    Je n'y peux rien je pleure

    Une blessure au cœur,

    Je pleure, je pleure.

     

    Plongé dans la moiteur

    De ce bar moi, je pleure

    Perdu dans ma douleur

    Je pleure, je pleure.

          Texte parlé

    sous accompagnement musical

    Elle était toute ma vie

    Je l'ai tant attendu

    Toujours gaie et gentille

    Jamais un mot de plus

     

    Elle était tout pour moi

    Et je ne comprends pas

    Pourquoi elle m'a quitté

    Pourquoi elle est parti.

     

    Elle était ma moitié

    Tous les deux ça collait

    Je suis comme assommé

    Je croyais qu'elle m’aimait

     

    Pourtant tout est finit

    L'amour à des caprices

    Que nous avons, les hommes,

    Bien du mal d'accepter.

     

    Il faut bien s'incliner

    Quand on peut rien sauver

    Si l'un des deux décroche

    A quoi bon insister

    Refrain chanté

    Moi, l'homme et bien je pleure

    Je n'y peux rien je pleure

    Un poignard dans le cœur

    Je pleure, je pleure.

     

    C'est idiot mais je pleure

    Vous voyez bien je pleure

    Le nez dans mes erreurs

    Je pleure, je pleure.

       Texte parlé

    Dans l'appartement vide

    Je repense à nous deux

    Je revoie dans ses yeux

    Ce bel amour sans rides

     

    Je ne veux plus penser

    Qu'elle a voulu changer de vie

    Ne plus penser qu'elle m'a quitté

    Qu'elle à voulu changer de lit.

     

    Surtout ne pas s'apitoyer

    Sur ce qui fût notre complicité.

    Sortit boire quelques verres, me saouler,

    Et draguer, m'envoyer des poupées,

     

    Me défoncer noyé dans le whisky:

    J'en oublierai jusqu'à son nom

    J'en oublierai jusqu'à mon nom:

    Combler le vide qu'elle à laissé;

    Mais en attendant... En attendant,

    Refrain chanté

    Plongé dans la moiteur

    De ce bar moi, je pleure,

    Perdu dans ma douleur

    Je pleure, je pleure.

     

    Pour une histoire de fille 

    Laissez-moi me saouler

    Dans mon verre me noyer

    Me faire casser la gueule.

     

    Un homme,ça pleur aussi

     

     

    Accompagnement musical

      

    Cette musique me plaît pour une simple raison :

    Elle illustre très bien l'état d'esprit d'un homme blessé

    qui, pour noyer sa peine, se jette dans l'alcool

    au point de rester ivre mort pour ne plus penser.

    C'est l'ambiance que j'ai voulu décrire en écrivant les paroles du texte ci-dessus.

    C'est pourquoi j'ai mis cette vidéo sur mon blog :

    Un homme réagit toujours de cette manière lorsqu'il est malheureux.

    N. Ghis.

     

    N.GHIS. Texte écrit en mars 2003

    Retouché en mai 2016

    La Rose De Janvier 2015/2016

    sceau copyright 

      

    Un homme,ça pleur aussi


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  •  

     

    Les Pièges de l'amour

    Inconscience

     

    Les Pièges de l'amour

    Couplets

    Je ne voulais pas comprendre

    Ce que me disaient mes parents

    Je voulais faire à ma façon

    Explorer tous les horizons.

     

    Comme tous les garçons de mon âge

    Je ne voulais pas être sage,

    Et faire mes propres découvertes

    Sans croire que j'allais à ma perte

    Refrains

    Les filles étaient bien trop jolies

    Pour que je les drague de loin

    J'étais curieux : bien trop malin

    Pour laissez passer mes envies.

     

    Je connaissais bien la chanson:

    Les filles, l'amour sans concession.

    J'étais un p'tit mec culotté:

    Il ne fallait pas m'résister.

    Couplets

    Je me trouvais joli garçon.

    Je ne voyais pas les raisons

    De faire attention même aux lois:

    De ma propre vie, j'étais roi.

     

    Les pièges de l'existence, on sait,

    Ne se voient pas; se font discrets:

    A l'époque, je ne pensais pas

    Que la vie donne pas de passe-droits

    Refrain

    Les filles étaient bien trop faciles

    Et je jouais à «saute mouton»

    Je n'étais pas un mec docile:

    Je prenais les gens pour des cons.

     

    Je connaissais bien la chanson:

    Les filles, l'amour et les passions:

    Mais j'ai bien vite déchanté:

    Une femme m'a prit dans ses filets.

     

    La fin

    Je suis amoureux, c'est finit.

    Elle sait quoi faire de ma vie

    Avec son charme et mes élans,

    Je suis devenu son amant,

    Puis, Maint'nant je suis Son mari:

    Elle est ma femme et toute ma vie.

     

    N. GHIS.

    Inconscience

    Texte écrit le 10 Mais 2016


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  •  

     

    Regret de toi


    D’un amour à l'autre, que fais-tu à ton cœur
    D’un plaisir à l'autre, que fais-tu de ton corps
    A jouer à l'amour, à malmener sa vie,
    Ne crois-tu pas qu’un jour on se heurte à l'ennui


    Es-tu sûr qu’entre nous l'amour est vraiment mort
    Es-tu sûr qu’il n'y a pas, en toi, quelques remords
    Je cherche encore pourquoi nous nous sommes quittés.
    Dans ma vie, les beaux jours ont fait place aux regrets


    Refrain

    Comme je vois un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours

    Et je suis ce radeau qui dérive,
    Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
    Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.

    Accepter ton absence comme un simple divorce
    Supporter ton absence, je n'en ai plus la force
    Ignorer cette errance qui taraude mon âme
    C’est la folie qui gagne et c’est là tout mon drame

     

    Ton souvenir est dans mon âme
    Toi, mon amour, ma vie, ma femme
    Tu prends toute la place dans ma vie, dans mes blancs
    Tu coules dans mes veines. Tu surchauffes mon sang


    Refrain

    Comme je voie un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours


    Et je suis ce radeau qui dérive,
    Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
    Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.

    Regrets de toi, tes yeux, ta voix,
    Que j’en ai mal au fond de moi
    Toi, mon tendre passé, pourtant toujours présent
    Jusque dans mes pensées, tu es là, je le sens 

     

    Retrouvons cet amour qui nous rendait heureux
    Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
    Lorsque nos mains complices aimaient s’aventurer
    Sur le chemin des dieux qu’est l'amour partagé


    Refrain

    comme je voie un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours

    Et je suis ce radeau qui dérive
    Mais c'est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi!
    Ne sois pas cruelle! Ne me repousse pas!

    Reprenons le chemin qui nous rendait heureux
    Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
    Unis d'un même élan et le cœur allégé
    Sur le chemin des dieux qu'est l'amour partagé.

     

    N. GHIS.

    Texte écrit en 1976


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