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Par La plume de N. Ghis. le 15 Avril 2017 à 19:16
Petits défauts dans dans les lignes qui s'espacent sans raison.
Veuilles m'en excuser.
N. Ghis.
Texte de chanson
Juste un rayon de lune
Elle s’est donnée trop vite; amoureuse éperdue,Ignorant la prudence: mère de la vertu.
Elle s'est offerte à lui sans réfléchir à elle,
Espérant une confiance qu'elle voulait éternelle.
Sa nudité cachée sous le drap éclairé,Elle repense à celui qui trahit son amour.
Que peut-elle espérer de promesses fracturées.
Les souvenirs sont là pour y penser toujours.
Refrains
Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc
Et caresse les draps où sa pensé la tord.
Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,
Mais il n'est pas venu attisant ses remord.
Le regret en son cœur, elle pleure sa défaite.Il était amoureux. Le croyait-elle, à tord ?
Elle le souhaitait sincère, pour elle c'était un fait.
Il ne faut jamais croire aux futiles accords.
Couplets
Son bonheur n'est plus à porté de ses mains.
Elle avait cru pourtant le frôler de ses doigts
Mais l'amour, comm' la vie, se fiche bien des lois.
Il va, il vient, s'ennuie pour fuir un beau matin.
Et dans son infortune elle respire les drapsOu l'odeur de son corps se mêle à son parfum,
La douceur de ses mains ravive son chagrin
La mettant en souffrance, et dans tous ses états.
Refrains
Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc
Et caresse les draps où sa pensé la tord.
Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,
Mais il n'est pas venu et grandit ses remords.
Le reproche en son cœur, elle pleure sa défaite.Il était amoureux, il désirait son corps.
Elle le croyait sincère, pour elle c'était un fait.
Il ne faut jamais croire aux futiles accords.
Couplets
S’enfermant sur elle-même, elle pleure et se morfond.
Se complaisant dans une attente qui lui fait mal
Penser à lui, lui donne encor’ cette illusion
Que tout ne peut finir sur une erreur fatale.
Et ne veut pas penser à cette déceptions
Qui nourrit sa souffrance autant que ses démons.
Le téléphone portable à porté de sa voix
Elle attend un appel qui ne sonnera pas.
Refrains
Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc
Et caresse les draps où sa pensé la tord.
Ils avaient rendez-vous au jardin sur le banc,
Mais il n'est pas venu et grandit ses remords.
Le reproche en son cœur elle pleure sa défaite.Il était amoureux, il désirait son corps.
Elle le croyait sincère, pour elle c'était un fait.
Il ne faut jamais croire aux futiles accords.
N. Ghis.
Texte écrit le 18 Mai 2010
La Rose De Janvier 2016.
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 14 Avril 2017 à 10:45
Je ne renonce jamais !
J'ai déjà travaillée avec TF1 pour des compositeurs et des chanteurs sur la Belgique en 1980.
Le texte en anglais avec la musique que vous allez entendre en bas,
n'a rien à voir avec les paroles que j'ai écrite.
J'ai juste voulu illustrer ce que ressent un homme
quand celle qu'il aime le quitte...
Un homme,ça pleur aussi
Refrain chanté
Moi, l'homme et bien je pleure
Je n'y peux rien je pleure
Une blessure au cœur,
Je pleure, je pleure.
Plongé dans la moiteur
De ce bar moi, je pleure
Perdu dans ma douleur
Je pleure, je pleure.
Texte parlé
sous accompagnement musical
Elle était toute ma vie
Je l'ai tant attendu
Toujours gaie et gentille
Jamais un mot de plus
Elle était tout pour moi
Et je ne comprends pas
Pourquoi elle m'a quitté
Pourquoi elle est parti.
Elle était ma moitié
Tous les deux ça collait
Je suis comme assommé
Je croyais qu'elle m’aimait
Pourtant tout est finit
L'amour à des caprices
Que nous avons, les hommes,
Bien du mal d'accepter.
Il faut bien s'incliner
Quand on peut rien sauver
Si l'un des deux décroche
A quoi bon insister
Refrain chanté
Moi, l'homme et bien je pleure
Je n'y peux rien je pleure
Un poignard dans le cœur
Je pleure, je pleure.
C'est idiot mais je pleure
Vous voyez bien je pleure
Le nez dans mes erreurs
Je pleure, je pleure.
Texte parlé
Dans l'appartement vide
Je repense à nous deux
Je revoie dans ses yeux
Ce bel amour sans rides
Je ne veux plus penser
Qu'elle a voulu changer de vie
Ne plus penser qu'elle m'a quitté
Qu'elle à voulu changer de lit.
Surtout ne pas s'apitoyer
Sur ce qui fût notre complicité.
Sortit boire quelques verres, me saouler,
Et draguer, m'envoyer des poupées,
Me défoncer noyé dans le whisky:
J'en oublierai jusqu'à son nom
J'en oublierai jusqu'à mon nom:
Combler le vide qu'elle à laissé;
Mais en attendant... En attendant,
Refrain chanté
Plongé dans la moiteur
De ce bar moi, je pleure,
Perdu dans ma douleur
Je pleure, je pleure.
Pour une histoire de fille
Laissez-moi me saouler
Dans mon verre me noyer
Me faire casser la gueule.
Accompagnement musical
Cette musique me plaît pour une simple raison :
Elle illustre très bien l'état d'esprit d'un homme blessé
qui, pour noyer sa peine, se jette dans l'alcool
au point de rester ivre mort pour ne plus penser.
C'est l'ambiance que j'ai voulu décrire en écrivant les paroles du texte ci-dessus.
C'est pourquoi j'ai mis cette vidéo sur mon blog :
Un homme réagit toujours de cette manière lorsqu'il est malheureux.
N. Ghis.
N.GHIS. Texte écrit en mars 2003
Retouché en mai 2016
La Rose De Janvier 2015/2016
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 27 Mars 2017 à 17:36
Les Pièges de l'amour
Couplets
Je ne voulais pas comprendre
Ce que me disaient mes parents
Je voulais faire à ma façon
Explorer tous les horizons.
Comme tous les garçons de mon âge
Je ne voulais pas être sage,
Et faire mes propres découvertes
Sans croire que j'allais à ma perte
Refrains
Les filles étaient bien trop jolies
Pour que je les drague de loin
J'étais curieux : bien trop malin
Pour laissez passer mes envies.
Je connaissais bien la chanson:
Les filles, l'amour sans concession.
J'étais un p'tit mec culotté:
Il ne fallait pas m'résister.
Couplets
Je me trouvais joli garçon.
Je ne voyais pas les raisons
De faire attention même aux lois:
De ma propre vie, j'étais roi.
Les pièges de l'existence, on sait,
Ne se voient pas; se font discrets:
A l'époque, je ne pensais pas
Que la vie donne pas de passe-droits
Refrain
Les filles étaient bien trop faciles
Et je jouais à «saute mouton»
Je n'étais pas un mec docile:
Je prenais les gens pour des cons.
Je connaissais bien la chanson:
Les filles, l'amour et les passions:
Mais j'ai bien vite déchanté:
Une femme m'a prit dans ses filets.
La fin
Je suis amoureux, c'est finit.
Elle sait quoi faire de ma vie
Avec son charme et mes élans,
Je suis devenu son amant,
Puis, Maint'nant je suis Son mari:
Elle est ma femme et toute ma vie.
N. GHIS.
Texte écrit le 10 Mais 2016
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 27 Mars 2017 à 16:57
Regret de toi
D’un amour à l'autre, que fais-tu à ton cœur
D’un plaisir à l'autre, que fais-tu de ton corps
A jouer à l'amour, à malmener sa vie,
Ne crois-tu pas qu’un jour on se heurte à l'ennui
Es-tu sûr qu’entre nous l'amour est vraiment mort
Es-tu sûr qu’il n'y a pas, en toi, quelques remords
Je cherche encore pourquoi nous nous sommes quittés.
Dans ma vie, les beaux jours ont fait place aux regrets
RefrainComme je vois un radeau qui dérive
Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
Et je m'accroche à eux comme bouée de secoursEt je suis ce radeau qui dérive,
Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.Accepter ton absence comme un simple divorce
Supporter ton absence, je n'en ai plus la force
Ignorer cette errance qui taraude mon âme
C’est la folie qui gagne et c’est là tout mon drameTon souvenir est dans mon âme
Toi, mon amour, ma vie, ma femme
Tu prends toute la place dans ma vie, dans mes blancs
Tu coules dans mes veines. Tu surchauffes mon sang
RefrainComme je voie un radeau qui dérive
Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
Et je m'accroche à eux comme bouée de secours
Et je suis ce radeau qui dérive,
Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.Regrets de toi, tes yeux, ta voix,
Que j’en ai mal au fond de moi
Toi, mon tendre passé, pourtant toujours présent
Jusque dans mes pensées, tu es là, je le sensRetrouvons cet amour qui nous rendait heureux
Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
Lorsque nos mains complices aimaient s’aventurer
Sur le chemin des dieux qu’est l'amour partagé
Refraincomme je voie un radeau qui dérive
Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
Et je m'accroche à eux comme bouée de secoursEt je suis ce radeau qui dérive
Mais c'est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi!
Ne sois pas cruelle! Ne me repousse pas!Reprenons le chemin qui nous rendait heureux
Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
Unis d'un même élan et le cœur allégé
Sur le chemin des dieux qu'est l'amour partagé.N. GHIS.
Texte écrit en 1976
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