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Par La plume de N. Ghis. le 17 Janvier 2019 à 14:25
Je te chasse de ma vie
C'est un sentiment
Que j'avais oublié depuis longtemps
Je suis bien dans ma peau
Je me sent de nouveau syncro
Et je suis libre.
Cette cage dorée
Dont tu savais si bien cacher la clef
Je m'en suis évadé et par défi, j'ai refusé
De me laisser dompter.
Refrain
Mais qu'as-tu fais de ma vie
De mon amour et de nos rêves
Tu n'as su que piétiner
Tout ce que je t'ai donné
Sans te soucier de ma peine
Mais qu’as-tu fais de mon cœur
Tu l'as mis comme en prison
Tu n'as su que m'humilier
Me soumettre à tes idées
Et j'ai vu naître la haine.
Couplets
Sans toi, je refais ma vie
Doucement, sans heurts, sans peur, sans bruit
J'ai refermé ma porte
Sur toi, tes bagages, tes remords
Et sans aucun regret.
Qu'est-ce qui m'arrive aujourd'hui
J'ai de nouveau envie de vivre
De reconstruire ma vie
De retrouver tous mes amis
Dont tu m'avais privé,
Refrain
Q'as-tu fais de notre amour
De nos joies et de nos rires
Tu n'as su que tout gâcher
En voulant tout régenter
Sans même voir grandir ma haine
Mais qu'as-tu fais de mon cœur
Tu l'as mis comme en prison
Je ne suis pas homme qui pli
A tes seules décisions
Et je te chasse de ma vie.
Fin
Je t'aimais, tu m'a détruis
Toi la femme que j'amais
Et je te chasse de ma vie.
N. GHIS.
N. GHIS.
Texte posé sur Eklablog en 2015/2016
Ecrit en 2002
Texte écrit en 2002
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 27 Décembre 2018 à 15:45
Pas de musique.
De toutes façons
La vie n'est faite que de questions
Dans notre tête, ça tourne en rond
C'est une succession de jours
Que l'on ne comprends pas toujours.
Pourquoi se faire du mouron?
Il faut bien qu'on fasse avec
Puisque le «TGV» d'la vie
Ne va jamais à reculons.
De toutes façons
On est vivant et ça nous va.
De toutes façons,
Il y'a l'amour et on aime ça
Y'a le bon vin quand ça va pas
Y'a les copains pour faire la bringue
Et y'a les emmerdes pour qu'on trinque.
De toutes façons
Profitons en tant qu'on est là
De toutes façons
Faut boire la coupe, on a pas l'choix
Bien assez tôt, on s'en ira
Que ce soit en haut ou en bas
De toutes les façons, on y va.
Il faut profiter du bon temps
Que le sort t'offre en attendant
Ne baisses surtout pas les bras
Mords dans ta chance à pleine dents.
Tant qu'y'a d'la vie, y'a de l'espoir:
T'as le temps de voir que du noir
Ne te poses plus de questions:
Vies à font et vies pour de bon.
De toutes façons
On est vivant et ça nous va
De toutes façons,
Il y'a l'amour et on aime ça
Y'a le bon vin quand ça va pas
Y'a les copains pour faire la bringue
Et y'a les emmerdes pour qu'on trinque.
De toutes façons
Profitons en tant qu'on est là
De toutes façons
Faut boire la coupe, on a pas l'choix
Bien assez tôt, on s'en ira
Que ce soit en haut ou en bas
De toutes les façons, on y va.
N. GHIS.
Texte écrit en 2000
13 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 27 Août 2018 à 15:18
Si tu veux te donner
Couplets
Tu rêves que tu t'abandonnes que tu te loves dans mes bras
Tu te réserves pour un homme qui a mon visage et ma voix
Petite fille tu déconnes car tu ne connais rien de moi
Je te plais mais je suis un homme sais-tu où te mènent tes pas ?Tu voudrais tant que je te donne les émois d'un premier baiser,
Tu veux que je sois le premier dans tes rêves et dans tes pensées,
Mais jeune fille, tu dois comprendre que si tu cherches à te donner,
Bien souvent, il vaut mieux attendre, pour rien avoir à regretter.Refrain
Ne prends pas cet air offusqué ne prends pas cet air de madone !
Si tu me veux, tu dois céder c'est bien ainsi lorsqu'on se donne.
Tu dois te livrer toute entière accepter les règles du jeu,
Ne plus revenir en arrière : n'oublies pas que c'est toi qui veux.Couplets
Mais si tu veux que je te donne tes premiers plaisirs amoureux,
Je veux pouvoir lire dans tes yeux que tu viens d'accepter la donne.
Je sens bien que ton corps réclame les plaisirs auxquels tu as droit.
Tu voudrais bien que ce soit moi qui prenne ton cœur et ton âme.Tu me plais et je dirais même que j'ai des sentiments pour toi.
Tu es jeune et je ne veux pas, à cause de moi, que tu regrettes.
Et si tu dois boire à la coupe du seul élixir des dieux,
Il ne faut pas que tu redoutes que la pluie tombe de tes yeux.Refrain
Ne prends pas cet air offusqué ne prends pas cet air de madone !
Si tu me veux, tu dois céder c'est bien ainsi lorsqu'on se donne.
Tu dois te livrer toute entière accepter les règles du jeu,
Ne plus revenir en arrière : n'oublies pas que c'est toi qui veux.Couplets
J’aimerais bien que tu comprennes que lorsque l'on tombe amoureux,
Pour autant que je m'en souvienne, l'amour c'est vraiment très sérieux.
Et si tu veux bien que j’adhère à tes rêves et à tes idées,
N'oublies pas que je n'suis pas homme à me laisser manipuler.Mais si tu veux que l'on s'adonne à l'extase, à la volupté,
Je prendrais ta virginité et je m'offrirais comme un homme.
Je voudrais bien que tu deviennes la femme que j'ai tant chercher.
J'aimerais être le dernier dans ton cœur et dans tes pensées.( Doublon dernière phrase )
N. GHIS.
Texte écrit en 1982
Posé sur Eklablog en 2016
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 18 Juillet 2018 à 14:11
Peut-être à parler sur un font musicale ?
S D F
Depuis des mois et des années
Je ne sais plus trop quoi penser.
Ma vie n'a plus du tout de sens,
Je suis tombé dans l'indigence.
Parler de quoi, Parler à qui,
Parler du temps ou de la pluie,
CA n’intéresse pas grand monde
Sauf, peut-être, ma personne.
" Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l'on rit. "
Je n’ai plus l’envie, le courage
De continuer ma vie sans but.
Dois-je encor' airer dans les rues
Pour qu'on m'humilie davantage?
Mais j’ai encore tout' ma fierté
Même draper dans des guenilles!
Et je mets des ténnis usagées,
Qui sont trop justes pour mes pieds.
" Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit."
Je ne suis pas un vas nu pieds
Et peux encor' me débrouiller :
Je peux toujours ouvrir ma gueule
Si je suis dans un coin casse-gueules
Même si je parle dans le vide,
Que personne s'intéresse à moi.
Pour contrer mon horreur du vide
Je brandis ce qu'il reste de moi.
" Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit. "
Je suis clochard sans lendemain,
Un vas nu-pieds, un loqueteux,
Un S D F tout poussiéreux
Un déchet encor' presqu'humain
Qui dort sur les bouches des métros,
Qui mange à la soupe populaire,
Qui gèle quand le froid est mordant,
Dans des vêtements sans coupe vent.
"Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit. "
Les passants anonymes se fichent
Du clochard courtisant sa chopine
C’est une chose tell’ment courante
De voir un homme bourré, à terre.
Avant, j’étais un grand patron :
J’étais un fringuant et bel homme,
J'avais des employés zélés
Et je gagnais très bien ma vie.
" Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit."
La femme que j’aimais m’a quitté
Pour un autre homme très futé :
Sans même que je m'en rende compte,
Ils m'ont complèt’ment lessivé
En calculant leur mauvais coup.
Ils ont pris mon identité
Ils ont liquidé ma maison,
L'ont vidé du sol au plafond !
"Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit."
Ils ont fermé mon compte en banque,
Vendu mes meubles et mes voitures
Ils ont fait leurs, mes enfants
Pour, enfin, me laisser pour compte.
J'ai rien compris, je n'ai rien vu.
Me suis retrouvé à la rue.
Parler de qui, parler de moi,
C’est fait, puisqu'ils m’ont achevé.
" Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi l’on rit."
Me plaindre auprès de qui, des flics :
Ils ne veulent pas croire mon histoire.
Je n’suis qu’un triste fou crotté
Un fou d'alcool : pauvre camé.
Déjà dix ans que je végète
Dix ans que je suis S D F
Sans amis, parents, sans enfants
Qu'elle à su détourner de moi…
"Il n’y a que les clowns
Qui font rire la galerie
Je ne suis pas un clown
Pour que de moi... l’on rit."
N. GHIS.
Texte écrit et modifié le 10/05/2017
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