-
Quand le doute...
Couplets
Voilà : cette fois, c'est finit
Notre divorce est prononcé
Et tu t'en vas de ton côté.
Que va devenir notre vie?...
On a plus besoin de cacher
Aux enfants que c'est terminé
Que notre amour s'en est allé
Ils sont pas bêtes : ils ont compris.
Refrains
C'est dur de prendre une autre route
Lorsqu'il nous reste encore des doutes
Sur notre amour, notre mariage
Qu'il faut oublier : c'est plus sage.
Les enfants sont mieux avec toi
Au fond, tout est parfait comme ça.
Avec mon métier qui me prend,
Je n'ai pas vu passer les ans.
Couplets
On se partagera la garde:
De toutes façons ils sont grands.
Pas besoin de te mettre en garde:
Tu connais les adolescents.
Seize ans, nous deux : ça fait du temps
Pour s'aimer et pour se comprendre,
Mais nous, on a pas su s'y prendre
Et s'envolèrent tous nos serments.
Refrains
C'est dur de prendre une autre route
Lorsqu'il nous reste encore des doutes
Sur notre amour, notre mariage
Qu'il faut oublier : c'est dommage !
Les enfants sont mieux avec toi
Au fond, tout est parfait comme ça.
Avec mon métier qui me prend,
Je n'ai pas vu passer les ans.
Couplets
On s'est promis sur nos alliances
De toujours se faire confiance
Mais notre amour s'en est allé :
Le manqu's de temps s'en est chargé.
C'est pas ta faute, c'est pas la mienne :
C'est la monotonie qui court
Et qui fait que nos habitudes
S’installent dans nos nuits et nos jours.
Refrains
C'est dur de prendre une autre route
Lorsqu'il nous reste encore des doutes
Sur notre amour, notre mariage
Qu'il faut oublier : c'est plus sage.
Les enfants sont mieux avec toi
Au fond, tout est parfait comme ça.
Avec mon métier qui me prend,
Je n'ai pas vu passer les ans.
La fin
Je n'ai pas su te rendre heureuse
BIS
On s'est gâché bien trop souvent.
On s'est gâché bien trop souvent...
N. GHIS.
Texte écrit le 24 Mai 2016
2 commentaires -
Ma belle sœur chante pour nous.
L'hymne à l'amour
Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant que l’amour inond’ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importent les problèmes
Mon amour, puisque tu m’aimes…
J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais…
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais…
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais…
On peut bien rire de moi,
Je ferais n’importe quoiSi tu me le demandais…
Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs, que tu sois loin de moi
Peu m’importe, si tu m’aimes
Car moi je mourrai aussi…
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel, plus de problèmes
Mon amour, crois-tu qu’on s’aime ?...
… Dieu réunit ceux qui s’aiment !
6 commentaires -
Le point de non-retour
C'est un rayon de clair lune
Qui vient éclairer ma langueur,
Et je suis seul à l’admirer :
Ce soir, elle n'est plus avec moi.
Dans cette pénombre argentée,
Son rire, sa voix ne sont plus là :
J’ai l’impression d’être l'amant,
Dont le cœur se trouve broyer.
Refrains
La beauté de ces nuits d'été
Aux enivrants parfums d’Orient :
Toutes ces effluves parfumées
Qui habillaient sa nudité.
Sont bien présentes en mon esprit.
Je me souviens de nos étreintes,
Des nuits consumant nos ébats
Et mes pensées s’en vont vers elle
Par delà les mers et déserts,
S'abîmant dans des flots ardents
De ma désespérance...
Couplets
Elle n'est plus à mes côtés.
Ne cherche plus à me parler,
Coupant ainsi le fil doré
Qui l'un à l'autre, nous reliait .
Ses sentiments s’en sont allés
Avant que viennent les frimas.
Elle est parti, sans un seul mot,
Sans même que je sache pourquoi.
Refrains
La beauté de ces nuits d'été
Aux enivrants parfums d’Orient :
Toutes ces effluves parfumées
Qui habillaient sa nudité.
Sont bien présentes en mon esprit.
Je me souviens de nos étreintes,
Des nuits consumant nos ébats
Et mes pensées s’en vont vers elle
Par delà les mers et déserts,
S'abîmant dans des flots ardents
De ma désespérance...
Couplets
Son corps de femme, plus que les mots,
Ne cherchait plus à s'exprimer.
Qu'à t-elle fait de nos sentiments,
De tous nos serments enflammés?
L'indifférence s'est installée
Dans la chaud’ moiteur de l’été,
Et la froidure vient bien trop tôt,
Laissant un goût d'inachevé.
Refrains
La beauté de ces nuits d'été
Aux enivrants parfums d’Orient :
Toutes ces effluves parfumées
Qui habillaient sa nudité.
Sont bien présentes en mon esprit.
Je me souviens de nos étreintes,
Des nuits consumant nos ébats
Et mes pensées s’en vont vers elle
Par delà les mers et déserts,
S'abîmant dans des flots ardents.
De ma désespérance...
Couplets
C'est une chaleur éprouvante
Qui ne réchauffe plus mon corps
Et cette histoire sans lendemains,
Dont je n'ferais pas le tour,
Est une bien trop triste fin,
Pour un amour si prometteur
Bercé de communes illusions,
Marquant un point de non-retour.
Refrains
Mais la beauté des nuits d'été
Aux enivrants parfums d’Orient :
Toutes ces effluves parfumées
Qui habillaient sa nudité.
Sont bien présentes en mon esprit.
Je me souviens de nos étreintes,
Nos nuits consumant nos ébats
Et mes pensées s’en vont vers elle
Par delà les mers et déserts
S'abîmant dans des flots ardents.
De ma désespérance...
N. Ghis.
Poème transformé en texte de chanson le 19 mars 2017
2 commentaires -
Elle se souvient
En réveillant ses sens qu'elle croyait éteints,
D'une femme il as fait d'elle une adolescente
Qui rêvait d'être aimée sans en être consciente
Qui rêvait de tendresse, d'amour sans innocenceIl as su lui parler à travers un clavier
Et la faire vibrée en regardant l'écran
Et la faire vibrée en tapant sur les touches
Tous deux vibraient d'amour sans même qu'ils se touchent.Refrains
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est la vie.
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est sa vie.Couplets
Elle se souviens de lui. Elle se souviens de tout
De leurs rires complices, de leurs baisers si fous
Qui, dans l'imaginaire, les emmenaient partout
Quand, dans leur inconscient, leurs rêves étaient si doux.
Il lui a fait connaîtr' ce qu'est le verbe aimer
Au point de devenir un cœur désespéré
Qui ne bat que par lui, qui ne vit que pour lui.
Elle ne pense pas à elle; mais ne pense qu'à lui.Refrains
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est la vie.
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est sa vie.Ce soir là, dans un dial, il a su lui parler
Amusée de ses mots, elle s'en ait délecté
Ce premier soir de rêve il ne s'est rien passé
Mais son cœur savait bien qu'il y avait danger.Elle n'oubliera jamais tous leurs mots enflammés
Elle n'oubliera jamais ce qu'ils se sont donné
Elle ne pourra jamais, dans le temps, l'oublier
Elle ne pas non plus le faire vivre au passé.Refrains
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est la vie.
Ce n'est pas la fin qui lui fait d'la peine
C'est l'injustice de la vie
Ce n'est pas sa faute, ce n'est pas la sienne
C'est simplement que c'est sa vie.La fin
Elle se souviens de tout. Elle se souvient de lui...N. Ghis.
Texte écrit le 03/06/2016
2 commentaires