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    Version plus courte de " Je t'écrirai "

     

    Je t'écrirai...

     

    Je t'écrirai avec l'eau vive coulant de mes veines,

    Pour mieux te faire sentir combien mon sang est poésie.

    Je t'écrirai à l'encre rouge de mon sang :

    Ruisseau d'eau pure qui maintient mon corps en vie.

    Refrain

    Je t'écrirai avec ce sang qui fait battre mon cœur

    Lorsque je te vois sans oser t'aborder, te parler,

    Je t’écrirai lorsque j'oserai te dire ma douleur,

    A l'encre invisible de mes sentiments 

     Pour te confier cet amour qui m'étouffe.

    Couplet

    Je te parlerai de cet amour qui brûle en moi

    Et qui me tue à petit feu sans que tu devines pourquoi.

    Je te parlerai de cette douleur qui fait mal

    Et qui empoisonne ma vie sans que je n'ose te le crier

    Refrain

    Je t'écrirai avec ce sang qui fait battre mon cœur

    Lorsque je te vois sans oser t'aborder, te parler.

    Je t’écrirai lorsque j'oserai te dire ma douleur.

    A l'encre invisible de mes sentiments 

    Pour te confier cet amour qui m'étouffe.

    La Fin

    Je t'écrirai un matin, un jour, une nuit,

    Lorsque mon sommeil tardera à venir,

    Et que ton image hantera mes soupirs.

    Je t'écrirai à l'encre rouge de mon sang.

     

    Je t'écrirai : Oui! Je t'écrirai!

    Je t'écrirai… Je t’écrirais...

     

    N. GHIS

     

    Version plus courte de " Je t'écrirai " 

    sceau copyright 

      


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    Regret de toi  ( Pas de musique)

    Regret de toi: A vérifier sur les chansons.  

    Regret de toi 

     

    D'un amour à l'autre, que fais-tu de ton cœur?

    D'un plaisir à l'autre, que fais-tu de ton corps?

    A jouer avec le feu, a malmener sa vie,

    Ne crois-tu pas qu'un jour on se heurte à l'ennui?

     

    Es-tu sûr qu'entre nous l'amour est vraiment mort?

    Es-tu sûr qu'il n'y'a pas en toi quelques remords?

    Je cherche encore pourquoi nous nous sommes quittés.

    Dans ma vie les beaux jours ont fait place aux regrets.

    Refrains

    Regrets de toi, tes yeux, de ta voix

    Que j'en ai mal au fond de moi!

    Toi mon tendre passé, pourtant toujours présent:

    Jusque dans mes pensées tu est là, je le sens.

    Et je suis comme un radeau qui dérive.

     

    J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix

    Que j'ai  vraiment très mal au plus profond de moi!

    Mes illusions s'envolent aux vent de tes amours

    Et je m'accroche à elles comme bouée de secours:

    Couplets

    Accepter ton absence comme un simple divorce?

    Supporter ton absence? Je n'en ai plus la force!

    Je revis tous nos gestes qui nous rendaient heureux

    Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux,

     

    Lorsque nos mains timides n'osaient s'aventurer

    Sur le chemin des dieux qu'est l'amour partagé.

    Ignorer cette errance qui torture mon âme?

    C'est la folie qui gagne et c'est là tout mon drame!

    Refrains

    J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix 

    Que j'ai vraiment très mal au  plus profond de moi!

    Toi mon tendre passé, pourtant toujours présent:

    Jusque dans mes pensées tu est  là, je le sens.

    Et je suis toujours ce radeau qui dérive.

     

    J'ai le regrets de toi, de tes yeux, de ta voix

    Que j'en ai vraiment mal au  plus profond de moi!

    Mes illusions s'envolent aux vent de tes amours

    Et je m'accroche à elles comme bouée de secours:

    La fin

    Mais c'est peine perdue: je le sais, je le sens.

    Sauve-moi de toi-même ou sauve-toi de moi!

    Bis.

    Mais c'est peine perdue: je le sais, je le sens.

    Sauve-moi de toi-même ou sauve-toi de moi!

    Ou sauve-moi de toi!

     

    N. GHIS.

    Regret de toi

    Texte écrit le 19 mai 2016 

    sceau copyright 

      

    Regret de toi  ( Pas de musique)


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    Je me pose des questions

     

    Je me pose des questions

     

    Chaque matin

    Je te croise en prenant le train.

    Tu me regardes sans me voir.

    Je vois bien que tu es ailleurs.

    *

    Quand vient le soir,

    Tu t'en vas promener ton chien.

    Tu passes devant moi sans me voir.

    Sans rien deviner de mes peurs.

    Mylène, Mylène,

    Belle et rebelle je te croie

    Insaisissable comme l'air.

    La glace et le feu sont en toi,

    Peut-être que mon amour ne te touche pas  ?

    *

    Serais-tu encore demoiselle

    Que ça ne m'étonnerait pas,

    Si j'osais un seul instant, j'aimerais

    Faire, vers toi, ce premier pas,

    Mais peut-être que tu ne veux pas de moi ? 

    Quand s'en vient l'amour, 

    Que fais-tu, Mylène, si tu aimes ?

    Que fais-tu, douce Mylène ?

    Serais-tu fidèle sans tes ailes ?

    *

    Si je me pose ces questions,

    Malgré mes airs de fanfaron

    C'est que jaim'rais que tu sois mienne;

    Mais dois-je faire le premier pas ?

    Le premier pas...

    Mylène,Mylène,

    Signe d'air, fille que j'aime!

    Aimerais-tu brûler tes ailes

    Au feu que tu allumes en moi ?

    Au feu qui se consume en moi,

    Mais peut-être que tu n'es pas faite pour moi ?

    *

    Chaque fois que je t'aperçois,

    Te doutes-tu de mon émoi?

    Je ne sais pas, mais si j'osais,

    J'aimerais faire le premier pas, 

    Mais sans doute que tes pensées sont loin de moi.

    Sont loin de moi...

    N. GHIS. 2002

     


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    Ce texte n'a pas de musique,

    mais il est écrit sur l'air de:

    "Il n'y a pas d'amour heureux"   ou

    "Je vous salut Marie" ,

    les deux  textes  sont chantés par  Georges Brassens.

    Si vous aimez Brassens, mettez la chanson et calquez sur l'air ces paroles : Vous vous rendrez mieux compte.

    Eh! Quand on a pas de pétrole : on a des idées! LOL! 

    Je n'ai pas de compositeur, ni de musicien, ni d'interprète.

     Texte écrit en 1983 et toujours d'actualité.

       

    L'indifférence

    (Pas de musique)

     

    Sur le visage inquiet des mères aux yeux hagards

    Sur le velours rugueux de leur corps amaigris

    Sous un soleil de plomb asséchant l’eau des puits

    Et sur ces nourrissons n’ayant pas droit de vie

    Parce que privés de lait, parce que privés de pluie:

    J’ai mal de lire ton nom!

    Dans les villes transits aux murs délabrés

    Et dans les bidons villes: refuge des mal-aimés,

    Dans les rue de la honte des villes de perversions,

    Sur le corps de enfants déjà vieux à six ans

    Et sur corps des filles souillées dans leurs quinze ans:

    J’ai mal de lire ton nom! 

    Dans les gestes impatients d’un gosse qui a faim

    Cherchant dans les poubelles les restes d’un repas

    Afin de réchauffer son petit corps menu.

    Par celui qui le chasse à coup de pieds au "cul"

    Ne voulant partager pas même ses déchets:

    J’ai mal de lire ton nom!

    Sur le visage du père qui pointe au chômage

    Subissant avec rage l’injustice sociale

    Se demandant comment, pour lui, sera demain.

    Par le père qui a but pour pouvoir oublier

    Et qui, sur son enfant, frappe à coups répétés:

    J’ai mal de lire ton nom!

    Dans le cœur de tous ceux qui ont le ventre plein

    Refusant l’évidence de la détresse humaine

    Préférant leur confort aux plaintes entendues.

    Dans les riches jardins de leurs villas cossues,

    Dans les villes modernes où l’horreur est cachée:

    Tout n'est qu’indifférence...

    N.GHIS.

    L'indifférence

    Texte écrit en 1982

    Retoucher le 04 /06 /2016

     


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