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Incorrigible Romantique.
Dernière vidéo de Julian Renan :
Musique et interprétation.
Julian Renan
Auteur : N . GHIS.
Comme je le dis souvent :
je suis une incorrigible romantique.
J'aime les belles mélodies !
Je prends à la vie ce qu'il y a de meilleur
et je refuse ce qui ne me conviens pas.
Telle est ma philosophie.
N. Ghis.
Pour la création musicale, vous trouverez des textes de chanson déjà en musique dont je suis l'auteur et mes amis musiciens en sont les Compositeurs / Interprètes / Mélodistes.
Il y a encore beaucoup d'autres textes :
Ils n'ont pas encore trouvé preneur.
Ce blog musical est avant tout un espace de relaxation.
Si vous le pouvez, prenez le temps
Le temps de descendre dans les menus gauche et droite :
Il y a pas mal de titres à écouter et à savourer.
Je ne garantis pas que mes goût seront les vôtres; mais sait-on jamais...
Merci pour avoir passé un peu de temps sur cet espace.
Avec tous mes remerciements amicaux.
Ghislaine
"Nous ne sommes fait que de ce que nous rêvons.
Le reste de notre personne n'est que sommeil profond."
Je suis Parisienne de naissance
Et méditerranéenne de par mon mariage.
Mes chers amis(es)
J'ai une très grande et irrésistible envie de vous faire part dans cet espace de paix, des émotions qui m'envahissent lorsque l'inspiration se fait trop pressante. Tel les cordes d'une harpe aux sons mélodieux, mon cœur et mon âme vibrent à l'unisson de cette musique céleste qui m’enveloppe toute entière. La musique des mots tourne dans ma tête en même temps qu'une mélodie se précise jusqu'à ce que je cède. Il faut que je retranscrive ce que je ressens à cet instant précis! Si je suis endormie, je me réveille et me lève pour coucher sur un bout de papier, n’importe lequel selon où je me trouve, les mots qui se pressent sous ma plume. Lorsque je vais quelque part, j’ai toujours sur moi mon dictaphone pour enregistrer ce qui me vient à l’esprit lorsque telle ou telle situation s'offre à mon regard, m’interpelle et que mon émotion est à son comble.
Tout ce qui touche à la musique m'emporte vers des pays imaginaires et lointains. Mon corps est là, visible; mais vidé de mon esprit qui vagabonde. Je vais là où seule je peux enfin me sentir bien. Je connais ce chemin qui me mène à la création. Il a dû être emprunté par bien d'autres poètes avant moi... Des mers intérieures aux calmes flux et reflux m’offrent l’inspiration. Je navigue sur ces vagues de mots qui m'hydratent d'envolées poétiques dans lesquelles, souvent, je retrouve l'exaltation et la joie de l'enfantement.
En conclusion:
Les quelques textes présentés sur cet espace, sont le reflet de ce qui se passe au cours de l'existence de personnes que je rencontre ou côtoie journellement. Je m'imprègne de tout ce que je vois, écoute, vis, ressens, déplore, et couche sur le papier mes émotions, mes réflexions, mes impressions, mes colères, révoltes, peines, joies, douleurs etc. Cet espace n’est là que pour vous faire apprécier, au fil des pages, des poèmes et entre les mots, bien d'autres choses. La profondeur des messages que ces textes délivrent pourrait séduire ceux qui aiment la poésie.
Écrire est un plaisir, une nécessité, un besoin de faire partager des valeurs que, malheureusement, le monde a volontairement tendance à oublier. Par ma poésie, je transpose les expériences et peines de cœur de mes semblables qui n'arrivent pas ou ne savent pas mettre en mots leurs émotions. J'écris depuis que je suis en âge de comprendre le sens des mots que je lis.
* Vers l’âge de neuf ans, parce que trop seule, j'ai commencé à inventer de petites histoires, des contes. Ma mère ne s'occupant de moi que par périodes, j'étais souvent livrée à moi-même. Seuls mes rêves me tenaient compagnie. Je couchais toutes mes peines sur le papier. N'étant pas reconnus comme une personne à part entière par mon père que nous avions fui à cause de sa violence dû à son alcoolisme, ni par ma mère qui travaillait comme coiffeuse pour pouvoir subvenir à ses besoins plutôt qu'aux miens, je me suis tournée vers mes professeurs, cherchant leur reconnaissance. Toujours dans les cinq premières, de ne me faisais pas que des amies! Mais j'avais l'habitude d'être solitaire. Je n'ai pas souvenance d'une amie d'école, ni même le nom d'un de mes professeur et encore moins du nom des écoles que j'ai fréquenté. Je n'ai que de vagues souvenirs de ma scolarité. Je n'ai pas eu d'amis, pas eu d'enfance ni même d'adolescence. L'écriture, la lecture et les sœurs furent les seules compagnes pour m'aider à grandir et me construire afin de devenir une femme. Je n'ai pas eu d'amis(es) adultes ni de vie sociale. Aucune connaissance avec laquelle je puisse devenir proche. Encore aujourd'hui je vis seule dans mon coin. Je suis toujours une solitaire dans mon âme. J'ai un époux bien sûr! Il m'aime et ne sait pas quoi faire pour me rendre heureuse! Mais il ne saura jamais combler le vide que je ressens au fond de moi. Rien ne comblera la solitude qui est en moi depuis ma toute petite enfance. Je me lie pourtant facilement, mais je me fais toujours avoir car lorsque je donne mon amitié, je donne tout et les gens en profitent.
Malgré tout ce que mon mari m'apporte comme réconfort, malgré l'amour de mes deux enfants et de mes petits enfants, le vide affectif que je ressens ne se comblera jamais. La petite fille qui est l'essence même de ma vie de femme est toujours là et pleure ses parents qui n'ont pas su être présents pour elle de la manière dont des parents doivent se conduire envers leurs enfants. De ce fait, par la force des choses, je ne garde pas d'amis(es) parce que je donne trop de ma personne. Ce n'est pas que j'attends quelque chose en retour! Je sais qu'il ne faut rien attendre de personne pour ne pas souffrir; mais j'ai besoin de reconnaissance, de respect, de réciprocité et ça, ceux ou celles avec qui j'aimerais être amie, à qui j'offre mon amitié, ne sont pas à l'écoute de ce que j'attends d'eux ou d'elles... J'ai besoin de ressentir l'estime de moi même. J'ai besoin de ressentir la vie, que je suis passée sur cette terre et que je laisserai quelque chose derrière moi pour ceux qui m'auront connu. Si ce n'est pas le cas et bien l'on pourra dire que j'aurai traversé ma vie pratiquement seule avec moi même...
Ce blog est sous Copyright
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Par La plume de N. Ghis. le 24 Mars 2018 à 15:39
La Colline des Adieux
Magnifique musique de film ou la guerre n'est pas très loin de la Chine. C'est une très belle histoire d'amour qui se finit en drame ou l'émotion nous envahit sur la fin du film. Le jeune homme qui est journaliste/photographe de presse, et reporter de guerre, envoyé en mission pour la chine : colonie Anglaise, en guerre avec le japon.
Le jeune journaliste fait la connaissance d'une jeune doctoresse eurasienne dont il tombe amoureux. La jeune femme, bien que réticence au début, n'est pas insensible à son charme, et tous deux cèdent à leur idylle naissante. Les colons anglais acceptent mal les métissages, et leur histoire n'est pas simple ; mais ils se fichent des préjugés, et malgré que les amours de races différentes soient mal vu par la colonie Anglaise de l'époque, les deux jeunes gens, malgré ce gros obstacle, sans les conseils de quiconque, décident en toute connaissance de cause et en toute liberté, de leur avenir. ils s'aiment et c'est tout ce qui comptent. Il n'envisagent pas de se séparer à cause de ces préjugés racistes qui sévissaient, il y a un peu plus d'une soixantaine d'années , si ce n'est plus, car je n'ai pas les dates exactes en têtes.
Qu'importe les opinions des colons ! Les deux amoureux comptent partir de Chine pour vivre leur vie en Amérique ; mais le jeune reporter doit avant tout, partir pour une mission imprévue sur le front ou il a ordre de communiquer ce qu'il aura vu, écrit et filmé à son journal. La séparation est très douloureuse pour les deux amoureux qui se retrouvent toujours sur leur lieu favori de leur rendez-vous : le haut de la colline surplombant la baie de Hong Kong, près du seul arbre qui est leur lieu secret et ou ils aiment à se retrouver pour se confier leur amour, et pour s'aimer loin des regards indiscrets. Dans leurs tendres serments, ils se promettent de s'écrire tous les jours, et il font le projet de se marier en Amérique lorsqu'il sera de retour.
Une seule et unique bombe va sceller leur destin alors qu'il n'y avait pas de menace là où le jeune homme avait dressé son camps : Rien ne laissait prévoir ce malheur alors qu'il rédigeait son rapport de presse. L'ironie du sort veut qu'il ne mette qu'un simple casque pour se protéger la tête d'un déluge de feu en entendant des avions ennemis au dessus du camps retranché de l'amont ou avait lieu le véritable danger. Il n'aurait pas dû être prit dans la tourmente ! La vie est souvent très injuste et très cruelle ! Sa mort à mit fin à leur idylle. Au moment du drame, la jeune femme travaillant encore à l'hôpital de Hong Kong, à comme une intuition sur ce qu'il vient d'arriver à son bien aimé en sursautant devant un bol plein de sauce rouge qui tombe brusquement sur le sol, précisément au moment ou la bombe explose en touchant terre, là ou se trouve le camps ou le jeune reportère rédige sa dépêche. Un peu plus tard, la jeune femme reçoit une lettre de l'ambassade Américaine, mentionnant le décès du reporter, dû à une bombe tombée en arrière du front alors que celui-ci était bien plus en amont.
Choquée, et ne voulant pas y croire, La jeune doctoresse se sauve et court à en perdre halène vers leur lieu de rendez-vous : le haut de la colline, près du seul arbre qui était le protecteur de leur amour, là ou ils se retrouvaient parler de leur projet et pour s'aimer. La jeune femme court espérant le voir apparaître comme au premier jour de leur rencontre ; mais il n'y a personne. Pourtant elle s’imagine apercevoir son amour lui faire des signes en apparaissant sur les hauteurs, près de leur arbre. Elle se rend compte que ce n'est qu'une illusion. A ce moment, la musique finit de nous prendre aux tripes, et les larmes me montent au yeux sans que je le veuille. ( En même temps, chez moi, c'est la fontaine des adieux. (Rire !)
J'ai vu deux fois ce film. Sur la seine de fin, à chaque fois, mes yeux sont noyés de larmes : cette mélodie me retourne. L'émotion est plus forte que tout. Je suis trop beaucoup trop émotive. L'émotion m'envahit intensément lorsque que je vis un drame qui me touchent car, trop bonne spectatrice, je m'investie entièrement dans le film qui me prends aux tripes.
N. GHIS
Texte Français :
La plus belle chose au monde
Oui, la plus belle choseQu'il soit ici-bas,
N'est pas l'éclat d'une rose.
Ce n'est pas le chant des sources,
L'étoile dans sa course,
La plus belle chose au monde, c'est l'amour !
Oui, dans un seul "je t'aime" !
Que l'on dit tout bas,Du plus profond de nous-mêmes,
Notre cœur a mis plus de soleilQu'en peut donner le jour,
Oui, rien, rien, n'est plus beau que l'amour !
Oui ! La plus belle choseQu'il soit ici-bas,
N'est pas l'éclat d'une rose
C'est un cœur quand il se donne,
Deux bras qui s'abandonnent,
Et cela tient dans un seul mot : l'amour !
Oui, pour un seul "Je t'aime" !
Que l'on dit tout bas,Du plus profond de nous-mêmes
Qui donc ne voudrait donner sa vie,En cet instant si court !
Oui, rien, rien, n'est plus beau que l'amour !
13 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 20 Mars 2018 à 14:51
Quarante ans déjà !
Que le temps passe vite ! Ma petite fille à 7 ans chantait cette chanson.
Elle à aujourd'hui 47 ans.
Bonne anniversaire Claude ! Nous ne t'oublions pas.
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 10 Septembre 2017 à 12:06
La raison d'être d'une chanson
Est qu'elle transmette une émotion
Si infime soit-elle !
Membre de la SACEM depuis le 25 juin 1980
Tous mes textes de chansons sont enregistrés à la SACEM et à la SABAM (Belgique)
Auteur, compositeur et interprète, mon histoire musicale commence à la fin des années 60, Polnareff, Les Beatles, Dylan, Deep Purple, Simon et Garfunkel, ma 1ère guitare (une 12 cordes Framus) et une guitare classique ramenée d'Espagne.
Puis début 70, Leforestier, Yves Simon, Pink Floyd, Genesis, rencontre avec des musiciens sympas, "Ny Alena" mon 1er groupe, les bals, la musette, le rock, ma 3ème guitare (folk Mountain) puis une guitare électrique (Gibson SG).
Et la période "Folk" fin 70, Tri Yann, Malicorne, Planxty, Dadi rencontre avec des folkeux "Cargaison" mon 2ème groupe, ma 5ème guitare (Fender Telecaster), une basse (Fender Mustang), un banjo 5 cordes et une 12 cordes (Epiphone).
Les années 80, Cabrel, Souchon, toujours Yves Simon, Danielle Messia, rencontre avec un auteur/chanteur exceptionnel, mon 1er studio, chansons, cabarets, répétitions et ma 8ème guitare (Ovation Balladeer).
Mon chemin artistique a été bordé de rencontres et de guitares jusqu'à aujourd'hui où les progrès de l'informatique me permettent de travailler seul ou presque !
Ce blog me permettra d'obtenir vos avis et vos remarques concernant mes réalisations et pourquoi pas de faire de nouvelles rencontres musicales !
Merci à tous .
Les textes sont de Ghislaine Nicolas, la musique et l'interprétation de
Pierre-Michel Pierozzi
4 commentaires -
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Par La plume de N. Ghis. le 31 Mai 2017 à 17:08
Je suis une incorrigible romantique.
Je prends à la vie ce qu'il y a de meilleur
et je refuse ce qui ne me conviens pas.
Telle est ma philosophie.
N. Ghis.
24 commentaires
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