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Vidéos de N. Ghis. & Julian Renan
Texte de :
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
vieillir ensemble
Couplets
Quand l'hiver cognera aux portes de nos âges,
Que la vie chantera, en nous, beaucoup moins fort,
Que de profondes rides marqueront nos visages,
Lorsque nous fêterons, heureux, nos noces d'or,Dans le fond du jardin, tout prés de la fontaine,
Là, où le chèvrefeuille en grappes embaumées
Vient caresser le banc des ses senteurs qui traînent,
Nous viendrons nous asseoir pour mieux nous rappeler.Refrains
Alors nous, nous dirons tous nos petits secrets.
Nous, nous ressouviendrons des milles petits riens
Qui nous auront permis de toujours nous aimer
Malgré les mauvais jours jalonnant le chemin.Nos mains se chercheront, vieillies; mais obstinées.
Et nos corps amoureux, enlacés; mais lacés,
Voudront revivre encor' les doux moments passés.
Les instants merveilleux de nos premiers baisers.Couplets
Les yeux au fond des yeux, nous ferons, attendris,
Le bilan de nos vies, des printemps entassés,
Des souvenirs communs jalousement gardés,
Et nous seront heureux de la route accomplie.Lorsque nous seront vieux ridés pas les merveilles
Que nous aurons vécu au long de ces années,
Lorsque je serais vieux et que tu seras vieille,
Nous reviendrons oser, les mains plus fort serrées.Refrains
Alors nous, nous dirons tous nos petits secrets.
Nous, nous ressouviendrons des milles petits riens
Qui nous auront permis de toujours nous aimer
Malgré les mauvais jours jalonnant le chemin.Nos mains se chercheront, vieillies; mais obstinées.
Et nos corps amoureux, enlacés; mais lacés,
Voudront revivre encor' les doux moments passés.
Les instants merveilleux de nos premiers baisers.Couplets
Quand nous seront tous deux parés de cheveux blanc,
Nous, nous contemplerons, assis sur notre banc,
Nos cœurs emplis d'émoi, comme de jeunes gens
Et nous serons très fiers d'être restés confiants.Les larmes aux paupières, nous nous dirons:"Je t'aime!"
Avec, dans le regard, l'amour de nos vingts ans,
Assis sur notre banc, tout prés de la fontaine,
Là où le chèvrefeuille embaume tant et tant.Refrains
Alors nous, nous dirons tous nos petits secrets.
Nous, nous ressouviendrons des milles petits riens
Qui nous auront permis de toujours nous aimer
Malgré les mauvais jours jalonnant le chemin.Nos mains se chercheront, vieillies; mais obstinées.
Et nos corps amoureux, enlacés; mais lacés,
Voudront revivre encor' les doux moments passés.
Les instants merveilleux de nos premiers baisers. (bis)N. Ghis.
Texte écrit en 1979
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Par La plume de N. Ghis. le 4 Mars 2018 à 17:47
Je voyage
Il est une onde bleue dont je n’ me lasse pas
Il est une onde bleue où je plonge avec joie.
Pas très loin de mon cœur, il est une onde bleue
C’est le bleu de tes yeux dont je suis amoureux.
Sur l’air du refrain
Est-ce un rêve, un doux rêve
Qui m’emmène par delà mes pourquoi
Un voyage qui m’entraîne
Vers ce monde que je ne connais pas.
De roulis, en tangage
Je vibre et la vague du désir
Me submerge et m’engage
Sur un corps que j'aime à découvrir.
Couplet
Je ne veux m’arrimer qu’à ton seul port d’attache,
Atteindre ce rivage où ton amour me noie
M'allonger sur ce corps de femme qui me rattache
A la seule île déserte ou je me perd en toi
Sur l’air du refrain
Recherchant dans la vague
Du désir de vibrer avec toi
Je m’allonge sur ta plage
Tendrement, caressant tes émois.
Sur ton corps, je voyage
Dans les mers intérieurs de tes reins.
Et d’escales en escales
Mon bateau ivre tangue et vient.
Couplets
Et toi, mon tendre amour, blottie au creux de moi
Quand nos corps se font lourds de nos tendres ébats
A quoi est-ce que tu penses, me cachant tes tracas
Où s’en vont tes errances où moi je ne suis pas.
Sur l’air du refrain
Bis
Tu voyages, tu voyages
Dans des contrés où je n'est pas accès
Mon bateau fait naufrage
Près des îles de ton passé.
Tu voyages, tu voyages,
Je me sens perdu dans tes pensées
Je suis le bateau qui fait naufrage
Près des îles où dorment tes secrets.
Fin
Près des îles où dorment tes secrets.
Tu voyages...
N. Ghis. Le 03 août 2017
5 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 28 Décembre 2017 à 12:18
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte : Ghislaine Nicolas.
" N'écris pas ! N'écris plus ! "
Je suis tristement seul et je voudrais m'éteindre
Mes pensées loin de toi, c'est la nuit sans flambeau.
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau.
N'apprenons à jamais qu'à mourir à nous-mêmes.
Ne demande qu'à Dieu... Qu'à toi, si je t'aimais ?
Du fond de ton absence me dire que tu m'aimes,
C'est atteindre le ciel sans s'y rendre jamais.
N'écris pas ! N'écris plus !
Je te crains, Ô faiblesse ! J'ai peur de ma mémoire !
Elle a gardé tes mots qui me parlent souvent.
Une chère écriture est un portrait vivant.
Difficile d’aimer ce qu’on ne peut avoir.
N'écris plus ces mots doux que je n'ose pas lire ;
Mais qui sont source vive pour abreuver ma soif.
Ne montre pas l'eau pure à qui ne peut la boire !
Mon corps se déshydrate : j'ai peur et je délire.
N'écris pas ! N'écris plus !
Il semble que ta voix se répand sur mon cœur
Et qu'elle vient me brûler à travers mes soupirs,
Nous n'avons pas le droit de goûter au bonheur
Quand tes lèvres, sur les miennes, viennent y mourir...
Il nous faut arracher cet amour trop fragile.
Il est toujours le temps de pouvoir essayer !
Bien trop tard, nous nous sommes connus, séduits, aimés.
Ne vivons plus nos rêves en lisant nos écrits.
N'écris pas ! N'écris plus !
Nous ne sommes pas libres. Il faut arrêter çà !
Heureux ou malheureux, la chose importe peu !
Si tu m'aime vraiment, il faut en rester là.
Mieux vaut se résigner, et s'oublier, nous deux.
On s'est connu trop tard. Dans ma vie, c'est l'orage.
Trop attaché à toi, ébranle mon courage.
C'est trop dur, avoue-le, de couper le cordon
Pour un amour mirage, une trop grande illusion.
N'écris pas ! N'écris plus !
Nous n'étions que nous deux au jardin de Vénus,
Où nous vivions un rêve, un amour merveilleux.
Il ne faut plus m'écrire car c'est trop douloureux
De se dire et redire encor' une fois adieu...
... Adieu... Adieu...
N. GHIS.
Poème retouché le 13 février en texte de chanson.
Le texte en forme de poésie existe toujours...
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 17 Octobre 2017 à 18:22
Une goutte de lune
Refrain
La nuit est étoilée, mais je n'y prends pas garde.
Mes pensées sont ailleurs : perdues dans l'infini.
Une épine s'est logée en mon cœur par mégarde
Et la douleur me ronge depuis qu’elle est partie.
Couplets
Ma lutte est sans espoir dans ce sens interdit.
Je songe à nos ébats. On s’est quitter sans bruit.
J’ai le cœur en émoi, qui bat pour oublier
Le parfum de son corps que je n’dois plus aimer.
Elle est ma raison d'être et mon souffle de vie.
Je suis son tendre ami et souvent je m'inquiète
En me me sentant coupable au point que je la fui.
Pourtant, bien trop souvent, je la cherche et la guette.
Refrain
La nuit est étoilée, mais je n'y prends pas garde.
Mes pensées sont ailleurs : perdues dans l'infini.
Une épine s'est logée en mon cœur par mégarde
Et la douleur me ronge depuis qu’elle est partie.
Couplets
Mes doutes et mes erreurs nourrissent ma détresse.
J'ai besoin que l'on m'aime pour ce que je suis !
Elle m'aime, je le sais et pourtant je la fuis,
Mais ne peux me passer d'accepter sa tendresse.
Je suis son âme sœur. Elle est mon idéal
Cependant, au départ, rien ne nous réunit.
Une goutte de lune a piégé mon ennui
Et je suis son amant, son amis en escale.
Refrain
La nuit est étoilée, mais je n'y prends pas garde.
Mes pensées sont ailleurs : perdues dans l'infini.
Une épine s'est logée en mon cœur par mégarde
Et la douleur me ronge depuis qu’elle est partie.
La fin Bis
La raison ne compte pas devant notre attirance.
J'ai beau me dire qu'un autre exige sa présence
Mais c'est plus fort que moi : je veux quelle soit mienne
Mon amour est plus fort que l'homme qui la dit sienne!
Qu'il était doux ce temps lorsque c'était hier ,
Quand nos corps amoureux s'endormaient enlacés.
L'amour déclare la guère, détruisant les frontières
Quand on désire une femme au point de la voler.
N.GHIS.
Le 31 juillet 2017
35 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 18 Mai 2017 à 17:57
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte de Ghislaine Nicolas
Si je n'avais plus le temps
"means "if I had no more time..."
Si le temps devait s'arrêter pour moi
Si je n'avais plus que très peu de temps
Je voudrais le vivre tout prés de toi
Pouvoir me blottir au creux de tes bras
*
Si le temps devait s'arrêter pour moi
Si je n'avais plus qu'une heure devant moi
J'oserais enfin te dire cet amour
Qui brûle mon cœur depuis tant de jours
REFRAINEt je reste là, à te regarder,
Là, comme un copain, à prendre ta main,
A garder ta main pour calmer tes peurs.
*
Et je reste là, comme un bon gros chien
Qui lèche ta main pour calmer ses peurs,
Pour te protéger, et se rassurer.
*
Je veux m'enivrer de l'odeur de ta peau !
Je veux goûter à ta voix !
Prés de ta chaleur moi je reste là.Moi je reste là.
COUPLETS
Je n'ai jamais su par timidité
Prendre le courage de te parler.
J'avais tell'ment peur que tu me repousse,
Que je préférais jouer la comédie.
*
Mais la comédie, celle de l'amitié,
Alors que mon corps brûle tout entier,
Me fait bien trop mal ! Je voudrais crier !
Mes lèvres, pourtant, n'osent pas bouger.REFRAIN
Et je reste là, à te regarder,
Là, comme un copain, à prendre ta main,
A garder ta main pour calmer tes peurs.
*
Et je reste là, comme un bon gros chien
Qui lèche ta main pour calmer ses peurs,
Pour te protéger, et se rassurer.
*
Je veux m'enivrer de l'odeur de ta peau !
Je veux goûter à ta voix !
Prés de ta chaleur moi je reste là.Moi je reste là.
COUPLETS
Si le temps devait s'arrêter pour moi,
Si je n'avais plus que très peu de temps.
Si je n'avais plus qu'une heure devant moi.
Si le temps devait suspendre son vol,Doublon
J'oserai, alors, faire le premier pas.
Te montrer cet homme que tu ne vois pas.
Mes lèvres oseraient, alors, te donner
Le feu de l'amour pour le partager.Bis
Le feu de l'amour pour le partager.
N. Ghis.
N. Ghis.
Texte de chanson écrit en 2005
Tiré d'une poésie écrite en 1983
2 commentaires -
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Par La plume de N. Ghis. le 18 Mai 2017 à 13:58
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte de Ghislaine Nicolas
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Par La plume de N. Ghis. le 18 Mai 2017 à 13:58
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte de Ghislaine Nicolas
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Par La plume de N. Ghis. le 18 Mai 2017 à 13:57
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte de Ghislaine Nicolas
2 commentaires -
Par La plume de N. Ghis. le 18 Mai 2017 à 13:57
Texte choisit par
Compositeur - Mélodiste - Interprète -
Pour une composition musicale et une interprétation par lui-même.
Texte de Ghislaine Nicolas
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