• Regret de toi

     

     

    Regret de toi


    D’un amour à l'autre, que fais-tu à ton cœur
    D’un plaisir à l'autre, que fais-tu de ton corps
    A jouer à l'amour, à malmener sa vie,
    Ne crois-tu pas qu’un jour on se heurte à l'ennui


    Es-tu sûr qu’entre nous l'amour est vraiment mort
    Es-tu sûr qu’il n'y a pas, en toi, quelques remords
    Je cherche encore pourquoi nous nous sommes quittés.
    Dans ma vie, les beaux jours ont fait place aux regrets


    Refrain

    Comme je vois un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours

    Et je suis ce radeau qui dérive,
    Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
    Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.

    Accepter ton absence comme un simple divorce
    Supporter ton absence, je n'en ai plus la force
    Ignorer cette errance qui taraude mon âme
    C’est la folie qui gagne et c’est là tout mon drame

     

    Ton souvenir est dans mon âme
    Toi, mon amour, ma vie, ma femme
    Tu prends toute la place dans ma vie, dans mes blancs
    Tu coules dans mes veines. Tu surchauffes mon sang


    Refrain

    Comme je voie un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours


    Et je suis ce radeau qui dérive,
    Mais c’est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi
    Ne sois pas si cruelle, ne me repousse pas.

    Regrets de toi, tes yeux, ta voix,
    Que j’en ai mal au fond de moi
    Toi, mon tendre passé, pourtant toujours présent
    Jusque dans mes pensées, tu es là, je le sens 

     

    Retrouvons cet amour qui nous rendait heureux
    Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
    Lorsque nos mains complices aimaient s’aventurer
    Sur le chemin des dieux qu’est l'amour partagé


    Refrain

    comme je voie un radeau qui dérive
    Je te vois dans mes rêves, Je t’appelle. Je t’attends.
    Mes illusions s’en vont aux vents de mes amours
    Et je m'accroche à eux comme bouée de secours

    Et je suis ce radeau qui dérive
    Mais c'est peine perdue. Je le sais. Je le sens.
    Sauves-moi de toi-même ou sauves-toi de moi!
    Ne sois pas cruelle! Ne me repousse pas!

    Reprenons le chemin qui nous rendait heureux
    Quand nos corps apaisés se miraient dans nos yeux
    Unis d'un même élan et le cœur allégé
    Sur le chemin des dieux qu'est l'amour partagé.

     

    N. GHIS.

    Texte écrit en 1976


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  • Commentaires

    1
    Jeudi 7 Juillet 2016 à 18:34

    Hello Ghislaine

    J’inaugure donc, hihihi. Mais c'est très mignon tout cela, encore bravo.

    Mais l'amour partagé, ce n'est pas le chemin des dieux...C'est le chemin des rideaux...Oh, je n'aurais pas du dire cela, hihihi.

    Je sais , je suis un vilain garnement, hihihi

    Amitiés

    Jo

    2
    Jeudi 7 Juillet 2016 à 21:43

    Bonsoir ma petite Ghislaine,

    Il est très beau ton texte, j'aime beaucoup smile Merci de nous faire partager ton talent, et quel talent !

    Je sais que tu es très occupée alors je suis venue te faire un coucou amical.Bon courage pour transférer tes textes !

    A demain mon amie adorée, prends bien soin de toi.

    Gros bisous et amitié sincère.

    Florence

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    3
    Vendredi 8 Juillet 2016 à 11:56

    Très joli texte,plein de sincérité!!

    Excellente fin de semaine.

    Biz!

      • Vendredi 31 Mars 2017 à 13:22

        Merci Cerdan pour ce compliment.

        Je ne fais que retranscrit les peines de couples qui se séparent autour de moi. C'est cela un poète (ou une poétesse que l'on dit que je suis): la personne qui écris pour elle-même et aussi pour les autres, doit être telle une éponge qui retient tout ce qu'il doit savoir restituer dans ses textes. Merci pour votre gentil compliment. C'est le don d'écrire qui m'a été donné généreusement pas la providence et que j'ai travaillé depuis ma jeunesse. J'aime la langue de Molière pour sont excellence!  la langue Française est une très belle langue que l'on nous abîme aujourd'hui par des abréviations mal venues.  Ghislaine.

    4
    Mardi 14 Novembre 2017 à 10:04

    Bonjour,

    je viens flotter avec ce radeau de l'amour laissé

    a la recherche d'un peu de réconfort et me retrouver

    sur un rivage accueillant et chaleureux

    qui me permettra d’échouer en sentiments heureux

      • Mardi 14 Novembre 2017 à 10:35

        Que c'est bien dit  Gentil poète ! Merci Philippe ! Je vous souhaite une très bonne semaine, mon ami ! Amicalement, Ghislaine.

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