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    La Plage De Ton Corps

      

    La Plage De Ton Corps



    Endormie au soleil, la plage de ton corps

    Me paraissait tranquille, déserte et solitaire

    Quand j’y posais mes rêves...

     

    Douces et chaudes à la fois, tes dunes de sable fin

    Offraient à mon regard des myriades de promesses

    D'aquarelles pour mes mains...

     

    Refrain

    J’avais envie de faire vibrer, de bousculer

    L’ordre  fragile, l'ordre établi de ton désert

    Pour effleurer et caresser ton corps de femme

     

    J’avais envie de provoquer tous ces désirs 

    Qui semblaient n’attendre que moi pour effeuiller

     Tes peurs, tes joies que je sentais à fleur de toi.

     

    C’est alors, que ton corps doucement s’éveilla

    Aux plaisirs de la vie qui sommeillaient en toi

     Aux plaisirs de la vie qui bouillonnaient en toi... 

     

    Ton corps à demi nu, promesse de volupté,

    Pareils à des fruits mûrs à la fin de l’été,

    Dans mes bras, est tombés...

     

    Refrain

    J’avais envie, sans t'affoler, de t’initier

    A des plaisirs entre aperçus, tant attendus

    Pour effleurer et caresser ton corps de femme

     

    J’avais envie de provoquer tous ces désirs 

    Qui semblaient n’attendre que moi pour effeuiller

     Tes peurs, tes joies que je sentais à fleur de toi. 

     

    Une femme divine se révélait à moi!

    Une femme sublime qu’était faite pour moi!

    Qu’était juste pour moi... 

     

    Le désert de ta plage n’était plus solitaire,

    Et ma bouche assoiffée savourait les délices

    De ta coupe enchantée...

    Refrain

    J’avais envie, sans t'affoler, de t’initier

    A des plaisirs entre aperçus, tant attendus

    Pour effleurer et caresser ton corps de femme

     

    J’avais envie de provoquer tous ces désirs 

    Qui semblaient n’attendre que moi pour effeuiller

     Tes peurs, tes joies que je sentais à fleur de toi.

    Couplets

    Je me suis délecté de cette peau bronzée

    Et je me suis couché sur ton sable doré

    Je me suis abreuvé à ta source de vie

     

    Et je me suis rendu, vaincu à ton appel

    Et j'ai adoré ton corps nu comme un homme,

    Dans cet acte d'amour interdit... au soleil.

    Refrain

    J’avais envie, sans t'affoler, de t’initier

    A des plaisirs entre aperçus, tant attendus

    Pour effleurer et caresser ton corps de femme

     

    J’avais envie de provoquer tous ces désirs 

    Qui semblaient n’attendre que moi pour effeuiller

     Tes peurs, tes joies que je sentais à fleur de toi. 

     Couplets

    La plage de ton corps n’était plus solitaire.

    Elle était douce et chaude sous mes doigts téméraires:

    Une soie étoilée voyageait sous mes mains.

     

    Et sous ce clair de lune, dans cette nuit sans brume,

    Que j’aime sur tes dunes y dessiner mes joies!

    Y dessiner mes joies... Y dessiner mes joies.

     

    N. Ghis.

    La Plage De Ton Corps

    Texte retouché Juillet en 2016


    4 commentaires
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    Texte de chanson sans musique:

    il n'attend plus que vous messieurs les compositeurs.

    Cette vie que tu vas nous donner



    Ton ventre peu à peu s'arrondit et s'affirme

    Et je vois dans tes yeux la fierté s'installer

    Quand les gens te regardent et semble remarquer

    Ton petit ventre rond qui te rend si radieuse.

     

    Dans tes gestes, déjà, la tendresse maternelle

    Te fait prendre et ranger chaque chose avec amour

    Tout, en toi, me révèle le miracle charnel

    Et je t'aime plus fort, plus encore chaque jour.

    Refrain

    Je suis un fou d'amour devant toi jeune mère

    Et, à travers ton corps je caresse l'enfant.

    Déjà je fais pour lui des projet d'avenir

    En voyant, peu à peu, ton ventre s'arrondir.

     

    Oui, je suis fou d'amour devant toi, jeune mère.

    Béat d'admiration, je ne peux que t'aimer!

    J'ai fais de toi ma femme et toi tu as su faire

    Naître en toi cette vie que tu vas nous donner.

     

    Tu me prends chaque soir la main et tu la poses

    Su ce ventre tout rond qui est ton univers

    Et je suis tout heureux devant cette petite chose

    qui prend de l'importance dans le nid de ta chair.

     

    Devant ton air inquiet, moi je fonds de tendresse

    Et je bénis le jour ou l'on s'est rencontrés.

    Chaque jour je me sens un peu plus comme un père

    Même si c'est pas moi qui porte le bébé.

    Refrain

    Je suis un fou d'amour devant toi jeune mère

    Et, à travers ton corps je caresse l'enfant.

    Déjà je fais pour lui des projet d'avenir

    En voyant, peu à peu, ton ventre s'arrondir.

    La fin

    Oui, je suis fou d'amour devant toi, jeune mère.

    Béat d'admiration, je ne peux que t'aimer!

    J'ai fais de toi ma femme et toi tu as su faire

    Naître en toi cette vie que tu vas nous donner.

     

    N.GHIS.

    Cette vie que tu vas nous donner

    Texte retouché le 28 juin 2016

     


    1 commentaire
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    Mirage : fiction

      

    Mirage

    (Texte écrit en 2012 : Première version) 

     

    Il y avait ce soir là,

    Sur la plage, une fille.

    Sur le sable elle marchait:

    Apparition fragile.

     

    Ses long cheveux défaits

    Se mêlaient à la brise.

    Et je la regardais,

    Espérant un sourire.

    Refrains

    Je regardais marcher,

    Sur la plage, la fille

    Évanescence tranquille,

    Qui a su me troubler.

     

    Et je mourrais d'envie

    De me faire remarquer.

    Et je mourrais d'envie

    De pouvoir lui parler.

    Couplets

    J'aurais vraiment aimé

    Qu'elle me voit, me regarde,

    Qu'elle baisse sa garde

    Pour enfin lui parler.

     

    Oui, j'aurais bien aimé

    Pouvoir prendre sa taille,

    Avant qu'elle ne s'en aille,

    Pouvoir l'embrasser.

    Refrains

    Il se peut que la fille

    Qui marchait sur la plage

    Ne fut qu'un beau mirage

    Que je ne pus toucher?

     

    Pourtant, j'aurais aimé

    Pouvoir prendre sa taille,

    Avant qu'elle ne s'en aille,

    Pouvoir... l'enlacer .

    Couplets

    J'ai revu plusieurs fois,

    Sur la plage, la fille.

    Elle ne m'a pas parlé.

    Je n'l'ai pas embrassé ;

     

    Mais j'ai gardé l'envie

    De revoir cette fille,

    De lui prendre la taille

    Et qui sait... un beau jour... l'embrasser.

    Refrains

    Il se peut que la fille

    Qui marchait sur la plage

    Ne fut qu'un beau mirage

    Que je ne pus toucher?

     

    Pourtant, j'airais aimé

    Pouvoir prendre sa taille,

    Avant qu'elle ne s'en aille,

    Simplement, l'embrasser...

     

    N. GHIS.

    Texte écrit en 2012

    Mirage


    2 commentaires
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    (Pas de musique)

     

    Mon inconnue

     

    Couplets

    Il y avait ce soir là, sur une plage, une fille.

    Sur le sable elle marchait : apparition fragile.

    Ses longs cheveux défaits se mêlaient à la brise

    Et je la regardais, espérant un sourire.

     

    Je détaillais la fille qui marchait sur la plage

    Pieds nus et si tranquille, que j'en étais troublé,

    Et j'aurais bien voulu lui enlacer la taille,

    Avant qu'elle ne s'en aille, pouvoir l'embrasser.

     

    Refrains

    Je me sentais ému comme un ado:

    Comme si c'était la première fois.

    J'étais tenté de m'approcher ;

    Mais quelque chose me retenait ;

     

    Quelque chose d'indéfinissable 

    Que je ne pouvais m'expliquer,

    Et j'ai laissé partir, sans rien dire,

     La belle inconnue ! Mon inconnue !...

     Couplets

    J'ai vu au crépuscule, sur la plage, une fille:

    Elle ne m'a pas parler. Je n'ai rien dis non plus, 

    Mais j'ai gardé l'envie de revoir cette fille,

    De lui prendre la main, pour enfin, lui parler.

     

    Peut-être que la fille ne fut qu'un beau mirage :

    Simplement la vision de la femme dont je rêve?

     J'aurais pourtant aimé pouvoir prendre sa taille,

    Avant qu'elle ne s'en aille, pouvoir la toucher?

     

    Refrains

    Je me sentais ému comme un ado:  

    Comme à ma tout' première fois !

    Je voulais tell'ment m'approcher,

    Mais quelque chose me retenait:

     

    Quelque chose d'indéfinissable

    Que je ne pouvais m'expliquer,

    Et j'ai laissé partir, sans rien dire,

     La belle inconnue ! Mon inconnue !...

     

    N. GHIS.

    Mon inconnue

    Texte Retouché début juin 2016

    Mon inconnue


    2 commentaires