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    Miroirs de mon âme

     

     

    Poème féminin, mit à la troisième personne du singulier, pour pouvoir être chanter au masculin, par Pierre-Michel 53.

     

    Miroirs ensommeillés de l’âme

     

    Par quel miracle êtes-vous là?
    Que faites-vous dans ce visage?
    D'où venez-vous? De quelles îles,

    Pour aborder à son rivage ?

    De quel port ? De quel bastingage
    Vous aura jeté cet orage ?
    Vous ! Voyageurs de l'inconnu ?
    Les naufragés de ses tempêtes !

    La nuit descend en filigrane...

    Serait-elle cette terre promise
    A je ne sais trop quel destin,
    Pour que, prisonniers de sa rive,
    Vous essuyez de tels embruns

    Qui en coulant laissent la trace

    D'un sillon humide et tenace

    Sur le sable de ce visage

    Qui n'est plus qu'un sombre rivage.

    La nuit descend en filigrane...

    Miroirs ensommeillés de l'âme,
    Vous qui venez de l'infini !
    Fenêtre du monde intérieur !
    Les miroirs discrets de son cœur !

    Petits lacs de ses émotions !
    Qui font, de ses larmes, un torrent !
    Vous ! Les témoins de ses frissons !
    Témoins de ses désillusions !

    La nuit descend en filigrane…

    Serait-elle cette terre promise
    A je ne sais trop quel destin,
    Pour que, prisonniers de sa rive,
    Vous essuyez de tels embruns ?

    Qui, en coulant, laissent la trace
    D'un sillon humide et tenace
    Sur le sable de ce rivage
    Qui n'est plus qu'un sombre visage !

    La nuit descend en filigrane...

    Miroirs ensommeillés de l'âme !
    Doux reflets de ses yeux rougis !
    Mettez en veilleuse la flamme
    Qui vous a conduit jusqu'ici !

    Vous êtes arrivés sur sa plage.
    Vous êtes à votre port d'attache.
    Miroirs ensommeillés de l'âme !
    elle est votre terre endormie…

    La nuit descend en filigrane...

    N. GHIS. 1998

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    Pierre-Michel est le compositeur et l’interprète de cette chanson très romantique, dont le texte est de Ghislaine Nicolas : votre humble servante.

    Chanson sortie le 25 /11 /2017

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  • Poème chanté  : Parolière N. Ghis. 

    Chanteur / musicien / compositeur : Pierre-Michel.

     

    Le poète et sa muse

     

     

    Il garde un doux secret bien caché en son cœur,

    Rêve d'un jour, d'une nuit, d'un jardin secret

    Ou dorment ses pensées pareilles aux jolies fleurs

    Qui poussent en son ennui à travers ses regrets.

     

    Il était une fois une muse en émoi

    Qui cherchait le poète pour lui conter sa foi,

    Lui redonner l'envie de chanter les louanges

    De l'amour éternel qui fait chanter les anges.

     

    Elle lui donna tant que ses mots s'envolèrent,

    Coulant comme des notes accordées à sa lyre,

    Emportés par le vent léger de ses délires

    Qui, jusqu'à elle, en des vers délirants se posèrent.

     

    Dans la brise parfumé' d'un soir de printemps,

    Vénus en cet instant désire le poète, 
    Mais sa muse
     est la seule qu'il cherche dans sa quête

    L'inspiration lui vient de son merveilleux chant.

     

    Heureux il se soumet à cet accouchement

    De tous les mots choisit que lui souffle sa muse.

    Il en est amoureux et souffre en même temps

    De cet éloignement qui fait que ses mot s'usent.

     

    Mais sa muse dans l'ombre veille à ses attentes.

    Elle accorde au zéphyr le sens de ses pensées

    Pour souffler au poète les mots apprivoisés

    Qui sauront l'inspirer et la rendre présente.


    Dans la brise embaumé' de ce soir de printemps,

    Le poète amoureux lui chante ses louanges

    Et la belle répond, muse parmi les anges,

    Messagère d'amour, elle est de tous les temps.

    N. Ghis. 

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     Texte écrit le 19 Mai 2010 

     

    sceau copyright 

     

      

    Le poète et sa muse 

    jean phi (site web) Le 15/09/2009

    Ton blog est très beau, j'aime la poésie, surtout l'écrire, chez toi j'en ai lu deux pour l'instant car j'aime lire et j'ai apprécier les mots, les comprendre et bien sur comprendre l'auteur et entré en lui, vivre avec ses souffrances, ces joies, ces peines, etc. J'aime ta poésie, continue car si tu t'arrête tu va me décevoir. MAGNIFIQUE  ! BISOUS JP.

    Le poète et sa muse 


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    Photo de La main et la plume.

     

    Ballade pour un cœur 

     

     

    Petite fille tu as le temps

    De vouloir faire comme les grands

    Ne cherches pas les yeux des hommes

    Pour voir si tu leurs plaît aux hommes

     

    Il ne faut pas rougir ta bouche

    Elle a la couleur d'un fruit mûre

    Laisse tes yeux comme ta bouche :

    Ils sont si bleu, ils sont si purs !

    Refrains
    Mais si tu espères en l'amour
    Et que tu croies en lui
    Pour toi il viendra ce grand jour
    Qui changera ta vie.


    L'amour à l'odeur du printemps
    Et la couleur du temps
    L'amour est un beau sentiment
    Mais toi tu as le temps!

    Petite fille tu as seize ans
    Mais ton cœur n'est pas assez grand
    Pour contenir ce bel amour
    Que tu veux maître de tes jours

     

    Amuses-toi prends tout ton temps
    Ne condamnes pas ta jeunesse
    Pour un garçon pour une faiblesse
    D'être une femme tu as le temps!

    Refrains
    Mais si tu espères en l'amour
    Et que tu croies en lui
    Pour toi il viendra ce grand jour
    Qui changera ta vie.


    L'amour à l'odeur du printemps
    Et la couleur du temps
    L'amour est un beau sentiment
    Mais toi tu as le temps!


    La FIN


    Il serait vraiment dommage
    Qu'à ton âge tu fasses l'erreur
    De te donner: attends ton heure
    Y'a encore du blanc sur ta page:

    Y'a encore du blanc sur ta page...

     

    N.GHIS.

    Ballade pour un jeune cœur

     Texte écrit en 1999


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