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La plage étrangère (Slow d'été)
Pas de musique.
La plage étrangère
(Slow d'été)
Sous les palmiers dorés d'une plage étrangère
Sous les palmiers dorés d'une plage d'été
J'étais là, solitaire. Je marchais sur la plage.
J'étais un homme seul et soudain je t'ai vu.
*
Tu étais comme la plage: tu étais étrangère.
Je ne comprenais rien de ce que tu disais;
Mais pourtant on a su dans nos yeux reconnaître
Les couleurs de l'amour quand je t'ai embrassé
Refrain
On s'est aimés, follement aimés
La nuit descendait sur la plage
Et cachait nos corps aux indiscrets
*
C'était si bon de faire l'amour
Dans la nuit brune, au clair de lune,
Sur cette plage, loin de mon pays.
*
Sous les palmiers discrets d'une plage mystère
Sous les palmiers dorés d'une plage d'été
Nous étions deux enfants sur une plage étrangère
Nous étions deux enfants fous d'un amour d'été.
*
Nous avons dépensé, gaspillé nos baisers
Si bien que cet amour s'est bien vite consumé
Et nous avons compris que tout était finit
Que notre bel amour, d'un coup, avait vieilli.
Refrain
On s'est aimés, follement aimés.
La nuit descendait sur la plage
Et cachait tes larmes aux indiscrets
*
Elles m'ont laissé le goût salé
De ton corps nu et vibrant d'amour
Sur cette plage, loin de ton pays.
*
Elles m'ont laissé le goût amer
De cette histoire, de mes regrets,
Sur cette plage où l'été s'en est allé...
N. Ghis.
Texte écrit en 1983
Tags : plage, amour, étrangère, palmiers, dorés, yeux, l'amour, nuit, corps, clair, lune, pays, mystère, discrets, été, enfants, finit, vieilli, baisers
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Commentaires
Bien que depuis 1983 on nous recommande de nous protéger du soleil et pour l'amour, voici un thème dont ne se lasseront pas les grands sentimentaux que nous sommes ... ici ou sur une plage étrangère ...
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Mercredi 26 Juillet 2017 à 10:18
Bonjour Jean,
Merci pour votre commentaire, c'est sympathique d'être venu me visiter.
Vous avez dû remarqué une faute bien involontaire ou un "O" majuscule à refusé de s’inscrire au début d'une ligne de l'un des derniers vers du texte. Veuillez bien m'en excuser: je ne m'en étais pas aperçu, même en me relisant. Que je suis étourdie ! Cela va très vite en tapant sur les touches d'un clavier pour faire une coquille ! Vous me direz que ce n'est pas une excuse, mais quand même et comme je suis très étourdie, ça m'arrive souvent. (rire)
Bonne journée à vous ! Ghis.
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un frisson d'été comme ces amours passageres
ou durables, on ne sait jamais
j'aime ce texte qui donne un petit espoir estival en attendant l'automne
C'est bien ! Vous cherchez à joindre l'utile à l'agréable ! LOL !