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    Imprudence 

    Couplets

    Juste un rayon de lune éclaire le lit blanc
    Et caresse les draps où sa pensée la tord.
    Ils avaient rendez-vous au jardin sur un banc,
    Mais il n'est pas venu et pleine de remord,


    Le reproche en son cœur elle pleure sa défaite.
    Il étaient amoureux, il désirait son corps.
    Elle le croyait sincère, pour elle c'était un fait.
    Il ne faut jamais croire aux futiles accords !

    Refrain

    Son bonheur n'était pas à porté de sa main !
    Elle avait cru pourtant le frôler de ses doigts
    Mais l'amour, comme la vie, se fiche bien des lois !
    Il va, il vient, s'ennuie pour fuir un beau matin.

    Couplets

    Elle s'est donnée trop vite amoureuse éperdue,
    Ignorant la prudence : mère de la vertu,
    Elle s'est offerte à lui, sans réfléchir à elle,
    Espérant en l'amour qu'elle voulait éternel.


    Sa nudité cachée sur le drap éclairé,
    Elle repense à lui qui trahit son amour.
    Que peut-elle espérer d'un destin fracturé :
    Les souvenirs son là pour y penser toujours.


    Refrain

    Son bonheur n'était pas à porté de sa main !
    Elle avait cru pourtant le frôler de ses doigts
    Mais l'amour, comme la vie, se fiche bien des lois !
    Il va, il vient, s'ennuie pour fuir un beau matin.

    Couplets

    C’est dans son infortune qu’ elle respire les draps
    Ou l'odeur de son corps mêlé à son parfum
    La mettent en souffrance et dans tous ses états.
    Elle n'est pas encore prête à prendre le chemin


    Vers une guérison, l'oubli et la raison.
    Elle se ferme sur elle, elle pleure et se morfond,
    Le téléphone portable à porté de sa voix,
    Attendant un appel qui ne sonnera pas.

    Bis

    Le téléphone portable à porté de sa voix,
    Attendant un appel qui ne sonnera pas.

    N. GHIS.


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    Rêve de brume

     

    Rêve de brume

     

    Où est-ce que je t'ai rencontré

    Dans quel pays, ou quelle contré

    Dans le miroir de mes pensées,

    Ou dans mon esprit torturé?

     

    Dans quels méandres de mes rêves

    Est-ce que ta magie me torture

    Tu ne me laisses aucune trêve

    L'image de ton visage perdure.

    Refrains

    Je ne sais pas pourquoi ce soir

    Je suis enclin au désespoir

    De ne jamais te voir paraître

    Toi qui habite tout mon être.

     

    J'attends le soir, j'attends la nuit,

    Pour soudain te voir apparaître

    Je voudrais tell'ment te connaître

    Que c'est la nuit que je revis.

    Couplets

    Telle une apparition fragile

    Tu entretiens mon désarroi

    Et puis tu disparais, habile;

    Mais qu'attends-tu vraiment de moi

     

    Suis-je ton esclave malhabile

    Et toi, ma renne de Saba

    Qui lentement tisse le fil

    Avec lequel je me débat.

    Refrains

    Quand tu viens visiter mes nuits

    Je peints sur la toile ton visage

    Avant que ma mémoire ne fuit

    Pour garder de toi une image.

      

    Sur la toile de mon chevalet.

    Soudain tu prends forme et tu vis.

    Suis-je cet amoureux transit

    Qui t'aime au point de fantasmer.

    Couplets

    Tu as dû guetter mes pensées

    Sur mes chemins de solitude

    Où tu as pris tes habitudes

    Pour venir la nuit me hanter

     

    Par quel miracle t’ai-je trouvé,

    Pour être réelle aujourd'hui

    Par quel pouvoir de jeune fée

    Viens-tu me retrouver la nuit

    Bis

    Par quel pouvoir de jeune fée

    Viens-tu me retrouver la nuit

    Habiter mon imaginaire ?

     

    N. GHIS.

     

     

    Rêve de brume

    Texte écrit le 02 /05 /2016


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    Jolie Blonde !

     

     Jolie Blonde!

     

     

    Jolie Blonde

     

    C'était un jour de mai où les filles sont en fleur,

    Un de ces jours fatals où rien n'est comme avant.

    J'étais pas du tout prêt pour un nouveau bonheur.

    Les amourettes me suffisaient depuis longtemps.

     

    Le destin farceur bien souvent change les cartes

    On ne s'y attend pas du tout, mais c'est comme ça.

    Un beau matin on s’aperçoit que l'on s'écarte

    Des projets qu'on avait battit juste pour sois.

    Refrain

    Tu étais fraîche jolie blonde

    J'étais subjugué par tes formes

    Et tes yeux couleur d'eau profonde

    Devenaient le centre du monde.

     

    J'étais à l'aube de mes trente ans

    L'amour n'était pour moi qu'un jeu

    Je n' voyais pas filer les ans

    Jusqu'à c'que je tombe amoureux. 

    Couplets

    Les rencontres pour un garçon sont des cadeaux

    A courtiser, les femmes  qui sont bien trop jolies!

    T'apercevoir m'avait coupé toutes mes envies:

    Je n'avais plus du tout le cœur de faire le beau.

     

    J'étais jaloux de tous ces mecs qui regardaient.

    La jolie fille qui passait sans un regard.

    J'étais osé ; mais le courage me manquait.

    Du coup, je n'valais pas mieux que tous ces bâtards.

     

    Refrain

    Tu étais fraîche jolie blonde

    J'étais subjugué par tes formes

    Et tes yeux couleur d'eau profonde

    Devenait le centre du monde.

     

    J'étais à l'aube de mes trente ans

    L'amour n'était pour moi qu'un jeu

    Je n'voyais pas filer les ans

    Jusqu'à c'que je tombe amoureux.

    La fin

    C'est arrivé un jour comme ça.

    Tes beaux yeux couleur d'eau profonde

    Mon subjugués et m'ont fait fondre, 

    Troublant mon cœur épris de toi. 

    N. GHIS.

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    Texte écrit le 23 mai 2016

    Jolie Blonde !


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     L'amitié

    L'amitié

     

     

    L'amitié

     

    Quand l'amitié s'éveille autour d'un feu de bois,

    Quand l'amitié se mêle aux accords de guitares,

    Lorsque cette amitié rapproche deux étrangers

    Et qu'elle vient se nicher au creux de cœurs blessés:

     

    Alors, c'est du solide et c'est ça l'amitié!

     

    Lorsque notre amitié se mélange à nos voix ,

    Entonnant dans le soir le chant de l'amitié,

    Qu'au nom de l'amitié, on sait se d&passer

    En donnant un peu plus que n'le veut l'amitié:

     

    Alors, c'est un cadeau et c'est beau l'amitié!

     

    L'amitié, c'est ta présence silencieuse.

    C'est la fleur que tu m'as donné.

    L'amitié, ce sont mes pleures que tu as séché.

    C'est le pain que tu m'as tendu.

    C'est ton sourire que j'ai reçu... en plein cœur.

     

    L'amour et l'amitié sont du même côté!

     

    Quand une main te donne, l'autre ne reprends pas.

    Ce n'est pas l'amitié si on n'sait pas donner.

    Ce n'est pas l'amitié s'il y'a de l'intérêt.

    S'il n'y'a pas de partage, il n'y'a pas d'amitié!

     

    L'amitié, c'est très beau quand on sait s'effacer!

     

    L'amitié, c'est ta présence silencieuse.

    C'est la fleur que tu m'as donné.

    L'amitié, ce sont mes pleures que tu as séché.

    C'est le pain que tu m'as tendu.

    C'est ton sourire que j'ai reçu... en plein cœur.

     

    L'amitié c'est aussi la solidarité!

     

    C'est savoir s'effacer au profit de l'ami.

    Savoir donner sa vie sans attendre un «merci».

    On a besoin d'amour autant que d'amitié!

    L'amour comme l'amitié sont du même côté!

     

    Si elle me trahissait, c'est sûr: j'en souffrirais,

    Et n'aurais plus confiance dans le mot « Amitié ».

     

    N.GHIS.

    L'amitié

    Texte écrit en 1985

     


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